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Le Festival BZH Photo à l’initiative de la talentueuse Camille Gajate invite chaque année un photographe étranger en résidence, qui interprète sa vision de l’estran, ce monde imbriqué entre la terre et la mer. Les images sont exposées sur le port et dans l’eau, sous forme de drapeaux flottant au rythme du vent et des grandes marées.

La photographe suisse, Ester Vonplon, nous livre un travail d’expérimentation et explore la relation entre l’homme et la nature, à travers la matérialité de la photographie. Les accidents de chimie et de développement font partie de son processus de création, ils lui montrent les voies d’une nouvelle vision picturale.

L’exposition se tient du 06 juin au 07 septembre 2025 à Port de Loguivy-de-la-Mer et produit par Initial LABO.

“A l’ombre des rêves” : Une exposition de Capucine de Chabaneix.

Capucine propose un voyage atemporel, au gré d’une sélection de photographies parmi trente années d’archives. Ces instantanés, glanés au fil de sa vie et “remisés pour plus tard” dit-elle, serpentent entre rêve et enfance, passés dans le jardin de ses grands-parents les sculpteurs Claude et françois Xavier Lalanne.

Le temps d’une exposition, sur les murs de la galerie, de brèves histoires narrées en deux ou trois photographies sont ponctuées d’un court texte empreint de poésie, tel un écho du cœur. S’il existe un fil rouge entre petits récits, ce serait celui-ci : en si peu de mots et d’images, dire beaucoup. Comme dans son premier livre photographique autoédité en 2024 chez Escourbiac l’Imprimeur, “Renaître”, l’exposition se parcours à travers des diptyques ou des triptyques au sens connu d’elle seule, et pour lesquels elle glisse quelques indices écrits à la main sur les murs.

Car elle écrit, depuis toujours. Entre autres, des chansons pour Mathieu Chedid ou pour le groupe Bambi Zombie, des textes pour accompagner ses reportages, un recueil. Photos et écrits racontent en creux l’univers de femmes artistes auprès desquelles elle a grandi, elle évolue et laisse sa trace : sa mère, sa grand-mère, sa soeur jumelle, le collectif féminin d’artistes « Les Bricoleuses » qu’elle rejoint, jusqu’au prix du “concours de la nouvelle Annie Ernaux”  qu’elle remporte. Elle s’attelle aujourd’hui à l’écriture d’un roman “Moon”.

Exposition à Initial LABO, du 17 juin au 05 juillet 2025.

Vernissage mardi 24 Juin 2025

Le Deauville Sport Images Festival rend hommage au croisement si fertile entre la photographie et le sport. On s’en souvient, les JO ont ravivé notre passion pour ces images exceptionnelles de persévérance, de joie et d’humanité capturées par les photographes à chaque compétition. Et pas uniquement en compétition : le sport se pratique partout, par tous, dans n’importe quelles conditions, et c’est alors le jeu, l’interaction, le geste qui font le lien entre toutes ces images. 

Conçu et porté par la Ville de Deauville les Franciscaines et produit par l’agence BITL, Le Deauville Sport Images Festival propose pour son ambitieuse première édition plus de 300 photographies dans 12 expositions en accès libre, dans toute la ville, pendant les mois d’été. 

Un retour sur les Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024, ainsi que les fonds photographiques de  l’Équipe, l’AFP, Paris Match, Sport Illustrated, et les séries de Alain Schroeder, Mathias Depardon, Mat Forget et Neil Leifer, vous promettent une promenade pleine d’émotions.

Direction artistique Agnes Vergez, Scénographie de Marie-Gabrielle Verdoni – Lulisse et graphisme Atelier BeauVoir. Impressions et pose par les équipes de Métropole.

L’exposition se tient du 21 juin au 21 septembre.

So British !Au coeur du village breton de la Gacilly, a ouvert la nouvelle édition du pionnier des festivals en plein air. Pop, colorée, joyeuse et irrévérencieuse malgré le temps instable du week-end d’ouverture : on peut dire que cette édition porte parfaitement l’ADN de son pays invité, la Grande Bretagne. 

Parmi les 20 expositions présentées, on retrouve donc 12 écritures majeures de la photographie britannique, sélectionnées par le commissaire Cyril Drouhet et le président du festival Jacques Rocher, qui portent la richesse d’une population tiraillée entre fidélité aux traditions et folle liberté. A leurs côtés, 8 expositions maintiennent en alerte sur la protection de notre belle planète, avec des images émouvantes ou extraordinaires.

Nos équipes ont accompagné la production  des expositions de : Corey Arnold, Laurent Ballesta , Peter Dench , Josh Edgoose et les cyanotypes extraordinaires de la pionnière Anna Atkins.  Les toiles grand format de Frédéric Noy , Martin Parr, Gina Soden , Axelle de Russé aux côtés de Supratim BhattacharjeeRobert Doisneau, François FontaineCig HarveyFrançoise Huguier, Stéphane LavouéDon McCullinTerry O’NeilTony Ray-JonesMary Turner.

L’exposition se tient du 1er Juin au 05 octobre 2025.

Image mise en avant : © Josh Edgoose

Renoir n’est pas un pseudonyme. Arrière-petite-fille d’Auguste Renoir, nièce de Jean Renoir, avec une pareille ascendance, pouvait-elle échapper à un destin dans l’art ? Entrée dans le monde du cinéma à 13 ans, révélée par Rohmer à 16 ans, Sophie Renoir fait une pause le temps d’élever ses deux fils, mais l’image ne la quitte jamais. À Los Angeles, la lumière trouble la rattrape. Ce n’est plus un passe-temps : c’est une voix. Son regard de photographe est empreint de cinéma entre suspens et ombres narratives. 

A découvrir dans le numéro d’été de Dandy.

“Les émotion du je” : Une exposition de Julie Fratoni 

À deux pas de Roland Garros, explorez la galaxie d’émotions provoquées par les lignes pures du terrain et les batailles sportives et intimes qui s’y jouent, dans l’écriture artistique de Julie Fratoni.

Plutôt deux fois qu’une, Julie Fratoni n’entreprend que des projets qui la passionnent. Elle tire son inspiration de 20 ans d’expérience du tennis comme professionnelle, pour retranscrire les instants vécus sur les courts autour du monde.

Artiste visuelle, elle aime sculpter les pixels et puiser dans les émotions et les sensations l’étincelle qui éclaire la vie intérieure. 

Née en 1985 et appartenant à la dernière génération ayant connu une enfance sans internet, c’est au fur et à mesure de l’essor des outils numériques qu’elle en a exploré le potentiel. Retravaillant parfois 30, 40, 50 fois ses images, elle crée des oeuvres au grain réaliste, proches de la photographie mais habitées par un regard surréaliste et décalé. Avec patience, elle y glisse des détails minuscules, presque secrets, dans des ensembles précis, foisonnants, qui invitent à une lecture lente et attentive.

En détournant l’image classique du court, Julie crée un espace contemplatif de réflexion entre l’élan d’intention, la passion et la connaissance de soi.

Son processus créatif et le catalogue des oeuvres sont à découvrir ici

Vernissage mardi 03 Juin 2025

“Vers l’Éther”, une exposition de Eran Nordmann . 

Éther, lumière primordiale qui initie la création du monde : sans elle, la photographie – écriture par la lumière – ne pourrait exister.

Eran Nordmann a commencé à photographier en parallèle de son travail de décorateur pour le cinéma et la télévision. Les plateaux de prise de vue lui ont offert l’opportunité d’explorer la photographie en studio et de combiner ses deux passions : la décoration et l’image. Sur les plateaux, il alterne pendant des années entre son rôle de décorateur et celui de photographe, collaborant avec des marques de lingerie et des magazines comme Vogue Décoration. En 2015, lors de nouveaux voyages en Asie et en Afrique, Eran relance sa pratique autour de trois axes : le paysage, les cultures et le studio. Il fonde son propre studio de photographie en 2017. Aujourd’hui il consacre l’essentiel de son temps à la création photographique, entre voyages et explorations quotidiennes, et son travail en studio où il poursuit sa quête de lumière, d’émotion et de narration visuelle. 

Le travail de Eran s’apparente à un dialogue subtil entre l’ombre et la lumière. Quand l’une joue avec l’autre ou bien, se joue de l’autre, elles nous donnent à voir la force et la puissance des éléments qui nous entourent. 

Il cherche cette lumière, quand le ballet du clair-obscur fait émerger du chaos toute chose : d’un enchevêtrement de bois et de pierres, traversés par le vent et la lumière, de branches qui se touchent, d’un amas de roches furieuses, d’un arbre dans le brouillard, ou d’une silhouette sans destination, comme une question suspendue.  

Sa vie est un kaléidoscope d’images. Chaque instant, et en chaque lieu, son regard capture des portraits, des lumières, des émotions ou des mouvement. Avec son appareil, il essaie de recréer, d’écrire et de transmettre ces visions. Parfois, le résultat se révèle différent, inattendu : dans ce décalage entre sa vision et l’image, l’objectif a toujours le dernier mot. 

Vernissage mercredi 14 mai 2025

Salon solidaire d’art contemporain : 4e édition Solid’art Paris 

Du 01 au 04 mai 2025, pendant quatre jours, plus de 8 000 visiteurs et plus de 100 artistes se sont réunis au Carreau du Temple.  Ce Salon Solidaire d’art contemporain est un espace consacré aux rencontres et aux échanges autour de l’art et de la solidarité.

« Une œuvre achetée, c’est un enfant qui part en vacances. » : Sur le constat qu’un enfant sur trois n’a pas la chance de partir l’été, l’association fédère plus de 100 artistes qui, durant 4 jours et dans une ambiance bon enfant, proposent leurs œuvres à la vente et font don de 50% de celles-ci à l’association qui les transforme en vacances pour les enfants. 

À cette l’occasion,  Julie Fratoni qui a investi cette année l’espace Initial LABO, au cœur du salon. Depuis trois ans, nous nous engageons aux côtés du Secours Populaire et de ses partenaires pour promouvoir la belle initiative de Solid’ART Paris. En plus, Initial LABO a également produit l’œuvre de Jef Aerosol installée au sol, au centre du salon.

– Production et direction artistique (Solid’art) : florian neveu 

© Jef Aerosol : au sol au centre du Salon

© Julie Fratoni

Pour son numéro 20, Like revient avec une nouvelle formule encore plus généreuse pour les amoureux des récits photographiques. A l’honneur, la photographie brésilienne entrée aux archives inaliénables de la BnF, du XIXe siècle aux acquisitions contemporaines de la collection “Un fonds photographique brésilien à la BnF”. Pour illustrer combien cette pratique est vivante et protéiforme dans l’un des plus grands pays du monde, découvrez les photos de Tanara Stuermer, Giovana S. Nunes et  Marcos Prado.

SAISON FRANCE-BRÉSIL 2025 🇧🇷 Exposition « ID » à Sorbonne ArtGallery

Dans le cadre de la saison France Brésil, Initial LABO en partenariat avec Sorbonne Art Gallery présente trois artistes photographes brésiliennes, dont la vision de l’identité passe par le choix d’une palette chromatique comme levier subliminal de messages : Marcia Charnizon , Angelica Dass et Juliana Sicoli. L’exposition met ainsi en lumière trois photographes issues de la collection “Un fonds photographique brésilien à la BnF”, qui compte à ce jour plus de 700 photographies versées au fonds de l’institution depuis 2019.

Une soirée chaleureuse de paroles et de verres partagés lors du vernissage, le 9 avril 2025 à la Sorbonne Artgallery : un grand merci aux artistes, présentes avec nous par le coeur, à Yann Toma pour son accueil, et à M. le ministre conseiller Andre Maciel et à Jonas PALOSCHi du Service Culturel de l’Ambassade et Heloise Conesa conservatrice chargée de la collection de photographie contemporaine au département de Estampes et de la Photographie de la BnF, pour leur présence et leurs discours. 

L’accrochage est accompagné d’un texte d’Heloise Conesa et le livre As calabras de Marcxia Charnizon, paru en risographie aux Editions Bessard a été présenté par Pierre Bessard en avant première aux invités de cette soirée, à retrouver à la librairie d’Initial LABO.

Exposition jusqu’au  31 mai 2025

Louise Degraeve, née en 1992, présente sa première exposition personnelle en France : photographe belge, auteure de livres photographiques et graphiste free-lance spécialisée dans l’édition. Elle vit et travaille à Gand en Belgique et son travail aborde les thèmes de l’intimité et des relations humaines, capture des fragments de la vie quotidienne.

Pour Louise, photographier c’est voir ; recadrer l’image, c’est la revoir sous un nouvel angle. Après la prise de vue, la photographe extrait l’essence des images : un jeu de regard, une couleur, une sensation. Son langage visuel est fait de suggestions, de micro-fictions dans lesquelles les détails des corps jouent le rôle principal. Elle utilise ensuite des grilles pour permettre à la multitude de fragments de dialoguer entre eux, et y répète même des images, pour invoquer la puissance de la répétition du quotidien. Des éléments domestiques, de la nourriture, des motifs, des fruits et des touches humaines alternent et se combinent pour créer une atmosphère intime et chaleureuse.

Le spectateur peut reconnaître dans ces fragments des souvenirs personnels, et se voit invité à pénétrer dans un monde intime, le sien comme celui d’un autre, et à suivre une sorte de quête universelle et fragile des relations humaines.

Son travail fait référence à cette sorte “d’identité en équilibre” qui est celle des mères, au moment où elles se consacrent entièrement à leur bébé, tout en cherchant à exister en dehors de cela. La série se veut comme un point de recul, où l’on peut s’arrêter et penser à qui l’on est, à ce que l’on veut faire , imaginer ou être.
“homegrown” en appelle aussi à cet environnement familier dans lequel les photographies ont été prises. Il renvoie à l’énergie que procurent les petites choses répétitives du foyer, à l’authenticité, à ce que signifie faire grandir une personne, un enfant, une mère, une femme, un lieu.

Exposition du 15 avril au 3 mai chez Initial LABO. À l’occasion de cette exposition, nous avons organisé un atelier pour explorer l’univers doux, calme et intimiste de cette jeune photographe belge.

In English

Louise Degraeve, born in 1992, lives and works in Ghent, in the Flemish Region of Belgium. She is photographer who presents her art as a portraitist, freelance graphic designer and with a primary focus on book design. 

Her photography consistently explores themes of intimacy and human relationships, capturing fragments of daily life that are simple and humble, where sensitivity takes precedence. 

For Louise, to photograph is to see; to reframe the image is to see it again from a new perspective. After photographing, she extracts the essence of each image by intertwining together gazes, perspectives, interactions, touches, glances and emotions. Her visual language comprises subtle hints and micro-narratives, with the details of bodies taking center stage. To encourage a dialogue between this plurality of images, she uses grids, and one encounters two similar images that evoke the power of the quiet repetition of daily life. Domestic elements – food, patterns, fruits, and human touches – alternate and intertwine, creating an intimate and warm atmosphere.

The viewer may recognize personal memories within these fragments and is invited to enter an intimate world, propelled by the power of suggestion and the fragile quest for human relationships.

The work refers to the concept of “identity of balance”, which belongs to mothers who fully dedicate themselves to their babies while also striving to maintain their individuality beyond this role. This series provides a moment of pause, allowing us to step back and reflect on who we are, what we want to be, and what we imagine or hope to become.

“homegrown” also evokes the familiar environment in which the photographs were taken. This exhibition offers a journey through the serene energy found in the repetitive rhythms of domestic life, authenticity, and in what it means to nurture growth – whether it be of a person, a child, a mother, a woman, or a place. 

Vernissage mercredi 16 avril 2025

UnRepresented by a ppr oc he : une plateforme essentielle aux artistes non représentés – troisième édition 2025. 

Du 4 avril au 6 avril 2025, unRepresented a constitué un moment pour les artistes non représentés en galerie : une nouvelle dynamique de soutien à l’art.  Initial LABO, prend part à cette édition de unRepresented avec deux artistes qui explorent la matérialité infinie de la photographie : Julie Laporte et Flore Prébay.

Julie Laporte  
Long Live New Flesh explore les rémanences de la matière photographique : rebuts de cibachrome, résidus d’argent, empreintes de lumière et surfaces altérées sont mis en volume, donnant naissance à des formes en mutation.
Tireuse-filtreuse et plasticienne, Julie Laporte fait sortir l’image photographique de sa planéité. Privilégiant la matérialité de la photographie plutôt que sa représentativité, c’est avec la captation mécanique qu’elle questionne la quantité de rebuts dans la pratique photographique argentique. Que faire de ces fragments rejetés et pourtant nécessaires au flux du processus créatif ? Son travail plastique se trame en chambre noire et détourne les débris, les restes et les morceaux inutilisables de supports photographiques.

Flore Prebay 
Photographe et plasticienne, Flore transforme l’image en une fiction intime avec
sa série Deuil blanc : “Tout commence par une prise de vue, qui se révèle sur le papier, 
à la fois solide et fragile”. 
Des papiers faits à la main traduisent l’expérience de la fragilité ; les images, uniques, émergent lors du tirage, auxquelles elle ajoute des touches de peinture. Cette fusion entre textures et images incarne l’éphémère de l’existence, tout en mettant en lumière sa beauté singulière et délicate. Un travail tout en transparence et en textures dont la sensibilité est à ressentir sur place, face à l’œuvre.

 © Flore Prébay

 © Julie Laporte

Flore Prébay

Julie Laporte

L’année croisée France Brésil est l’occasion de mettre en lumière les photographes brésiliens de la collection” Un fonds photographique brésilien à la BnF”, et notamment dans la presse.

Un très merci au magazine PHOTO dont le riche portfolio sur l’amérique latine inclut pour le section Brésil trois photographes de la collection : Fernando Banzi, Roberta Sant’Anna et Rogerio Reis, ainsi qu’une interview croisée des commissaires du Fonds : Héloise Conesa, conservatrice du patrimoine à la BnF, responsable de la photographie contemporaine au Département des Estampes et de la Photographie, et Marly Porto, commissaire brésilienne de la collection.

« Exposition des Lauréats du Prix Herez Corpo 2024 ».

Cyrus Herez (anciennement Maison Herez) encourage de nouvelles écritures dans l’univers de la photographie d’entreprise au travers du Prix Herez Corpo. Afin d’enrichir et d’élargir la vision portée par son président, Patrick Ganansia et, sous l’impulsion de Fred Blanc, cette initiative prends forme dans une superbe exposition qui retrace les prix attribués depuis 2022.

Une sélection de photographies sur les deux thèmes de “la Famille” et de “l’Entrepreneur” :

La Famille : un groupe de personnes proches et bienveillantes, un espace à part et réconfortant, une relation intergénérationnelle, un soutien unique.

L’Entrepreneur : une personnalité passionnée par un métier, persévérante, guidée par une vision et une motivation sans faille. 

Chaque photographe affirme son regard d’auteur en utilisant son écriture photographique pour valoriser ces deux thèmes. L’exposition met en lumière les séries des deux photographes primés en 2024, mais également celles des photographes des années 2022 (Nicolas Krief et Ekka Kolesnikova) et 2021 (Melissa Schriek et Lucas Bourgine)

Lauréat 2024 : Eric Bouvet

Photographe de renommée internationale, Eric a souvent été récompensé pour son engagement. Son approche photographique se veut au plus près de l’humain : il s’engage auprès des Nations-Unies, d’ONG et beaucoup dans la transmission de son métier à travers des ateliers de formation et des rencontres.

Coup de coeur 2024 :  Antoine Martin

Le travail du photographe explore des histoires subtiles, à la limite de l'implication et de l'observation distante, dans la simplicité du réel et la profondeur de l'imaginaire. Il reflète fidèlement la vision d'une nouvelle génération où la distinction entre la vie familiale et la vie professionnelle devient moins marquée.

Vernissage à la galerie Initial LABO le 25 mars

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