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Ecouter Mandarine

A chaque numéro du magazine DANDY, nous conversons avec un photographe pour évoquer sa vision de l’élégance … en photographie.

Sabine Sursock Agostini  nous décrit en images autant de scénarios que son imaginaire, nourri par le cinéma, pouvait lui inspirer. Des scènes nocturnes, qui rappellent aussi bien l’intimité silencieuse d’Edward Hopper que l’ambiance sombre et intrigante du polar néo-noir, où mystère et danger peuvent se cacher au tournant d’une ruelle où derrière une porte. Attention ! Ça tourne ! 

« NO WOMAN’S LAND : Un regard intime sur la situation des droits des femmes en Afghanistan ».

Le duo lauréat du 14e Prix Carmignac du photojournalisme (Fondation Carmignac), la photographe Kiana Hayeri et la chercheuse Mélissa Cornet, livrent un travail documentaire et photographique puissant, témoignage essentiel au cœur du quotidien des Afghanes privées petit à petit de leurs droits fondamentaux.

Ce travail remarquable a été présenté d’abord au Réfectoire des Cordeliers, dans une scénographie immersive proposée par le Studio Ortiche. L’exposition a ensuite fait l’objet d’une itinérance, avec une première étape à l’invitation du Nouvel Obs pour le festival des 60 ans du magazine. 

Exposition au Réfectoire des Cordeliers : production et installation des structures par Stratus, impressions sur des voilages, tissus et dibond par METROPOLE, tirage fine art et encadrements par Initial Labo, production et coordination Agence PAM Elisabeth Hy et Valérie Anne Le Meur

 

Le sauvage a déjà été exploré et étudié par de nombreux historiens, philosophes, anthropologues aussi ; nombreux sont les ouvrages dédiés à ce sujet et autant s’inspirent des civilisations des peuples autochtones de l’Amazonie.

 La sélection d’œuvres de Jérôme Sainte Rose regroupe plusieurs séries photographiques produites sur une période de plus de 20 ans au Brésil et en France. Elle dialogue avec le sens du mot d’après sa définition par le dictionnaire de l’Académie Française : « sauvage » qui est issu du latin tardif salvaticus, altération du latin classique silvaticus, « qui vit dans les bois », lui-même dérivé de silva, « forêt ». Un voyage qui explore l’intersection entre le comportement culturel et l’environnement, dans laquelle s’exprime la nature sauvage de tout vivant.

 L’utilisation de procédés de développement artisanaux, alternatifs et aléatoires rend tangible ce principe d’interprétation ouverte que l’artiste nous propose. Ainsi l’exposition donne à voir des tirages cyanotypes aux chimies périmées ou en piézographie, et des papiers détournés de leurs fonctions afin de déconstruire toute conclusion hâtive quant à ce que seraient la nature ou le sauvage.

 Jérôme Sainte Rose a vécu plus de 17 ans à São Paulo au Brésil. Son travail nous dévoile des images de voyages dans ce pays où il partait à la rencontre de la nature, des peuples et de leurs coutumes. Revenu en France depuis, Jérôme a choisi de vivre à Biarritz et travaille actuellement sur l’essence de la culture basque. 

SÉRIE CACHOEIRA DOS NAMORADOS (cascade des amoureux)

Le temps s’arrête devant les cascades omniprésentes dans la nature brésilienne. Ces «cachoeiras» sont souvent préservées et entourées de végétation abondante. Elles témoignent du cycle court de l’eau, si tropical. Le taux d’humidité de l’air peut atteindre 90% !


Série de 3 photographies tirées à 10 exemplaires tout format, signées

SÉRIE INTO THE DEEP OU LES JARDINS DE LA COMMUNAUTÉ AMORIM

L’eau est partout. Son cycle régit la vie des communautés et façonne le paysage. L’eau calme, l’eau haute, le manque d’eau…

 

PORTRAIT DE “ IBÔ & JUNGLE SOUL

Grâce au lien très personnel créé avec le chef de la tribu Huni Kuin, connue sous le nom de Iba, Jérôme a été invité à participer au rituel de « l’Ayahuasca ». Cette riche expérience est restituée dans les séries « Nixi Pae » et « Jungle Soul » dont deux images ont été travaillées de façon expérimentale.

SÉRIE ALMA DA SELVA (l’âme de la forêt)

Côtoyer le peuple HUNI KUIN en Amazonie, vivre avec eux en confiance, et pouvoir témoigner de l’élégance de leurs sentiments et de leur vision de l’univers a permis à Jérôme d’accomplir cette série. Il dédie 10% des revenus des ventes de cette série à l’association qui œuvre pour la préservation de leur culture.

SÉRIE OS MASCARADOS

L’utilisation des formes de la nature comme restitution de l’histoire ou des mythes. Les récits populaires de l’intérieur du Brésil nous dévoilent la volonté résiliente de s’accommoder de l’histoire. A Pirenopolis, la coutume veut que pendant plusieurs jours à la Pentecôte, les habitants déguisés en « Mascarados » et « Curucus », cavaliers anonymes, prennent possession de la ville, masqués de têtes de boeuf ou de panthère fabriquées en papier mâché et peintes de couleurs très vives. Cette tradition a été initiée par la princesse Isabel du Portugal afin de perpétrer la mémoire de la bataille de Charlemagne qui dura trois jours.

SÉRIE SLUGS

Série de photographies autour des feuilles du jardin du photographe à Biarritz.
Les limaces dévorent ces feuilles, laissant Jérôme perplexe par la beauté géométrique créée par leur appétit. Organisation sauvage?

 

 

SÉRIE FLASHDAY & CAPSULE “FLASHDAY COLLECTIONNEUR”

Dans cet exercice photographique, trois femmes incarnent le féminin avec puissance.

A chaque numéro du magazine PHOTO, nous nous interrogeons sur les chemins qu’empruntent les chercheurs, artistes, photographes pour expérimenter la matérialité de la photographie. 

MAGAZINE PHOTO N°561

Julie Laporte est un véritable coup de cœur. Elle qui cherche constamment, et montre encore si peu, nous invite par son travail à questionner sur les frontières entre la technique, le processus, le geste et la matière photographique. Dans cette interview, elle nous raconte la genèse de son processus de travail sur papier, la chimie, la lumière, et leur dimension aléatoire qui ne cesse de la surprendre.

📣 ARLES 2024 – Les Rencontre d’Arles x Prix Carmignac du Photojournalisme

L’exposition “E-waste in Ghana : sur la route de nos déchets électroniques” présenté à la Fondation Manuel Riveira Ortiz a le souffle d’une grande enquête journalistique sous les traits d’une réelle proposition artistique.

Les 3 lauréats du Prix Carmignac du photojournalisme 2022 ont décortiqué entre 2023 et 2024, avec le soutien de la Fondation Carmignac, les ramifications du trafic “d’e-waste” entre l’Europe et l’Afrique. Cette grande exposition met en regard le travail d’investigation de Young Anas Aremeyaw Anas , les photographies prises par le ghanéen Muntaka Chasant, et celles de Benedicte Kurzen, qui s’est heurtée au silence et à l’invisibilité des interlocuteurs européens, et livre des images froides et électriques.

Le travail du collectif est restitué dans une scénographie de Studio Ortiche , produite par l’Agence PAM , qui ont apporté à l’exposition cette remarquable esthétique à la fois industrielle et artistique, avec un mobilier sur mesure qui rythme le parcours des visiteurs.

➡️ Exposition du 1 juillet au 29 septembre à la Fondation Manuel Rivera-Ortiz

📸 Crédits photo Nicolas Brasseur pour le Prix Carmignac
avec les oeuvres de :
© Benedicte Kurzen pour la Fondation Carmignac / NOOR
© Muntaka Chasant pour la Fondation Carmignac

À chaque numéro du magazine PHOTO, nous nous interrogerons sur les chemins empruntés par les chercheurs, artistes, photographes d’hier et d’aujourd’hui pour arriver à matérialiser la photographie.

Comment pouvons-nous la déformer, manipuler, déconstruire ?

MAGAZINE PHOTO N° 560

Pour la première rubrique de cette collaboration, nous interrogeons l’artiste brésilien Vik Muniz, célèbre pour ses photos faites de collages en mosaïques, et qui vient d’entrer dans la collection de la BnF “Un fonds photographique brésilien”.

Il place la réflexion sur le matériau à la genèse même de son travail, dans une approche créative et intellectuelle – voire philosophique – assez unique. 

Du 1er Juillet au 29 Septembre 2024 

Initial LABO sera présent cette année à Arles, et vous invite à découvrir les expositions suivantes : 

“Le Jardin d’Hannibal” de Marine Lanier –📍Le jardin d’été

Un “jardin-laboratoire” au cœur du Jardin d’été: Marine Lanier magnifie la biodiversité remarquable du jardin d’altitude le plus haut d’Europe, au Col du Lautaret, à 2 100 mètres. Ce conservatoire unique de la diversité de la flore alpine est un lieu de partage où étudiants et scientifiques viennent analyser la flore qui survit dans ce milieu hostile. Marine a capturé les plantes, les graines, les visages, dans une exposition aux couleurs parfois douces, parfois contrastées, souvent oniriques. 

Photographies produites dans le cadre de la Grande Commande nationale financée par le Ministère de la Culture, pilotée par la BnF.

“Voyage au Centre” de Cristina de Middel –📍Église des frères pêcheurs 

L’exposition de Cristina de Middel présente la traversée migratoire du Mexique comme une expédition héroïque et courageuse plutôt que comme une fuite. 

Entre photographie documentaire et images factices, le récit sort de l’approche simpliste. Le laboratoire a proposé, avec l’équipe des Rencontres, une impression sur bâche vernie pour représenter la partie américaine du parcours migratoire, artificiellement brillante.

“Répliques — 11/03/11” de Lieko Shiga –📍Espace Van Gogh 

Présentée pour la première fois à Arles, l’exposition collective Répliques – 11/03/11 expose la catastrophe de Fukushima à travers l’œil des photographes japonais. 

L’artiste Lieko Shiga présente ainsi 3 bâches monumentales qui nous immergent dans la tragédie: superposition d’innombrables photographies, de mots, et de textes.

E-waste in Ghana : sur la route de nos déchets électroniques” de

Anas Aremeyaw Anas,          Muntaka Chassant, et      Benedicte Kurzen 📍Fondation MRO

13e édition du Prix Carmignac du photojournalisme

Cette exposition a le souffle d’une grande enquête et l’allure d’une réelle proposition artistique. 

Les 3 lauréats du Prix Carmignac du photojournalisme 2022 ont décortiqué entre 2023 et 2024, avec le soutien de la Fondation Carmignac, les ramifications du trafic “d’e-waste” entre l’Europe et l’Afrique. Cette grande exposition met en regard les photographies prises par le ghanéen Muntaka Chasant, centrées sur les hommes, et celles de Bénédicte Kurzen, qui s’est heurté au silence et à l’invisibilité des interlocuteurs européens, et livre des images froides et électriques.

Le travail des photographes est restitué dans une scénographie de Ortiche Sudio, produite par l’agence PAM, qui ont apporté à l’exposition une esthétique à la fois industrielle et artistique, avec un mobilier sur mesure qui rythme le parcours des visiteurs.

“Azon Horizon” de Patrick Wack x UPP –📍Commanderie Sainte-Luce

« Azov Horizons » est un projet photographique au long cours de Patrick Wack, cofondateur du collectif Inland, qui explore les territoires autour de la mer d’Azov, partagée pendant plusieurs décennies entre l’Ukraine et la Russie. Au prisme d’images estivales qui entrent en dissonance avec l’iconographie habituelle du monde post-soviétique, le projet explore les coulisses d’une zone géographique aujourd’hui engloutie dans la lutte violente pour le contrôle du sud de l’Ukraine. 

Les 6 diptyques sur bâches sont exposés en accès libre sur les fameuses barrières taurines des arènes d’Arles, dans le cadre du cycle d’expositions de l’UPP avec le soutien de l’ADAGP.

📍Place de la Concorde

 

Enzo Lefort, fleurettiste de renom et membre de l’Équipe de France de fleuret, porte son regard aiguisé sur les sports et les compétitions de haut niveau. À travers ses images et écrits, Enzo Lefort témoigne de l’adrénaline et du quotidien des sports olympiques. Il livre ici une radioscopie vibrante, singulière et colorée des coulisses de la compétition et de l’entraînement sportif à son plus haut niveau. Un accrochage en lévitation au dessus de la passerelle du rez-de-chaussée de l’entrée de la Samaritaine, donne un aperçu des mois ayant précédé les Jeux Olympiques de Paris pour Enzo Lefort.

Impression sur voilage grand format par Métropole.

Du 28 Juin au 8 Septembre 2024

Port de Loguivy-de-la-Mer

“Regards sur le littoral breton” de Daniel Jack Lyons

Chaque festival a son identité : le Festival BZH Photo a créé la sienne au gré du vent. Fondé par la talentueuse Camille Gajate et dessiné par ses rencontres avec les habitants de ce territoire, il invite chaque année un photographe étranger en résidence, pour interpréter sa vision de l’estran, ce monde imbriqué entre la terre et la mer. Particularité de ce festival, les images sont exposées sur le port, sous forme de kakémonos et drapeaux flottant dans l’air breton et rythmé par les grandes marées.

Cette année, c’est le photographe californien Daniel Jack Lyons qui s’est prêté à l’exercice : un mois durant, le photographe a réalisé le portrait d’habitants queer avec l’approche collaborative qui lui est propre.

Produit par Initial LABO

© Daniel Jack Lyons


21 Juin au 3 Novembre 2024

Reconnu pour son engagement sur les grands enjeux environnementaux et sociaux, le festival porté par Jacques Rocher, président du festival photo la Gacilly, et Cyril Drouhet, commissaire, nous invite cette année à plonger dans un pays continent : l’Australie.
Près de 800 photographies qui dessinent la complexité australienne, et en regard, proposent des sujets engagés, des ouragans américains aux populations indigènes d’Amérique du Sud jusqu’aux forêts vaudoues du Bénin. 

Initial LABO et Métropole, partenaires du festival, apportent comme chaque année le savoir-faire de la photographie allié à l’impression très grand format.

Nos équipes ont ainsi accompagné les expositions de :

Viviane Dalles, Mitch DobrownerBobbi LockyerGeorge SteinmetzAnne Zahalka  ainsi que les toiles grand format de Matthew Abbott

Elles seront à retrouver aux côtés des autres artistes de la sélection : 

Narelle AutioTorsten BlackwoodTamara DeanAdam Ferguson,Trent Parke pour l’Australie, et aussi Alessandro CinqueLouis JohnsUlla LohmannJoel MeyerowitzAlice Pallot, Bernard Plossu, George Steinmetz , Gaël TurineSophie Zénon, ainsi que Anoek De Groot, Saeed Khan, Torsten Blackwood de l’ Agence France-Presse et les Collégiens du Morbihan.

Fruit d’une collaboration globale entre Magnum Photos et Veuve Clicquot, l’exposition itinérante “Emotions of the Sun” célèbre la force et la beauté du soleil à travers une sélection de 40 images par huit des photographes de l’agence :

Steve McCurryCristina de MiddelNanna HeitmannLindokuhle SobekwaNewsha Tavakolian, Olivia ArthurTrent Parke et Alex Webb.  

Les artistes nous transmettent les émotions que leur inspire le soleil : les voilages produits par le labo se sont inscrits avec légèreté dans la scénographie aérienne dont la curation a été confiée à Pauline Vermare, commissaire d’exposition, et au coeur de l’espace conçu pour l’occasion par la designer Constance Guisset. L’exposition, d’abord présentée lors de la semaine du design de Milan en avril, se posera dès le mois de juin à New York.

Du 11 Juin au 7 Septembre 2024 

Exposée en avril au festival  “Are You Experiencing” du Havre, la si singulière série “After Dark” de Sabine Sursock Agostini se pose en juin à Initial LABO. Pour un mois, la galerie se fait le théâtre d’une atmosphère cinématographique crépusculaire : quarante cinq photographies, qui tiennent autant d’Edward Hopper que du polar néo-noir, oscillent entre calme trompeur et étrangeté électrique. 

Le tirage sur papier métallique et les encadrements proposés par les tireurs renforcent la lumière dramatique, et subliment le travail de Sabine Sursock fait d’ombre et de lumière, de couleurs saturées, de silhouettes et de brumes. 

Vernissage le 11 Juin à partir de 18h00. 

 

Samedi 1er Juin 2024 à 19h30

Une palissade-œuvre pour un haut lieu de la création contemporaine !
Après une invitation à intervenir sur la façade de l’actuel bâtiment des Ateliers MédicisRayan Yasmineh poursuit ce projet en investissant le chantier du futur bâtiment.

“Pérégrination vers l’Est” s’approprie les motifs d’un tapis persan orné de divers tableaux de la collection de l’artiste, et unit orient et occident autour de la thématique commune de l’Éden ou du paradis. Tels des orfèvres du dibond, nos équipes Métropole ont recréé une palissade qui sera inaugurée pour la Nuit Blanche du 1er juin.

© Rayan Yasmineh

Place de la Concorde

L’Automobile Club de France inaugure dans un cadre d’exception, le nouvel écrin de sa galerie avec les photographies d’Ewan Lebourdais, photographe et peintre officiel de la Marine nationale depuis 2021. Son travail est à découvrir dans la très belle édition d’ Escourbiac à trouver dans la librairie d’Initial LABO.


Le mobilier d’exposition a été conçu et produit par l’équipe de Stratus. Un mobilier amovible fait d’élégantes plaques d’acier, tendues entre sol et plafond par des filins d’acier, et laquées de deux couleurs recto verso pour varier les scénographies. Des crochets aimantés permettent d’y présenter des œuvres de tout format.

Du 13 Mai au 1er Juin 2024 

Bienvenue à l’exposition de la première édition de RPBB, les Rencontres photographiques de Boulogne- Billancourt.

Créée en 2022, l’association a pour vocation de promouvoir le regard documentaire, visant à une meilleure connaissance et compréhension de notre monde. Entre rencontres avec des experts et dotation d’une bourse, RPBB veut offrir une plateforme de reconnaissance et d’encouragement aux photographes au sein de notre ville. 

Initial LABO accueille Anaïs Tondeur, première lauréate du Grand Prix RPBB 2024 avec la série «Noir de Carbone». Distinguée tant pour son protocole photographique unique que pour son engagement écologique, la photographe poursuit cette écriture photographique singulière que l’on aime tant au laboratoire, au carrefour de la précision scientifique et de la poésie. 

Le noir de carbone est un polluant atmosphérique produit par les activités industrielles humaines. Anaïs l’a collecté et l’a utilisé pour produire des tirages originaux en petit format qui ont été scannés et puis tirés en grand format. Le choix de la piézographie prend ici tout son sens, car cette technique utilise des encres à base de charbon et carbone en donner de la profondeur à toutes les subtiles nuances de gris présentes dans le travail d’Anaïs Tondeur.

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