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Ecouter Mandarine

Du 28 Juin au 8 Septembre 2024

Port de Loguivy-de-la-Mer

“Regards sur le littoral breton” de Daniel Jack Lyons

Chaque festival a son identité : le Festival BZH Photo a créé la sienne au gré du vent. Fondé par la talentueuse Camille Gajate et dessiné par ses rencontres avec les habitants de ce territoire, il invite chaque année un photographe étranger en résidence, pour interpréter sa vision de l’estran, ce monde imbriqué entre la terre et la mer. Particularité de ce festival, les images sont exposées sur le port, sous forme de kakémonos et drapeaux flottant dans l’air breton et rythmé par les grandes marées.

Cette année, c’est le photographe californien Daniel Jack Lyons qui s’est prêté à l’exercice : un mois durant, le photographe a réalisé le portrait d’habitants queer avec l’approche collaborative qui lui est propre.

Produit par Initial LABO

© Daniel Jack Lyons


21 Juin au 3 Novembre 2024

Reconnu pour son engagement sur les grands enjeux environnementaux et sociaux, le festival porté par Jacques Rocher, président du festival photo la Gacilly, et Cyril Drouhet, commissaire, nous invite cette année à plonger dans un pays continent : l’Australie.
Près de 800 photographies qui dessinent la complexité australienne, et en regard, proposent des sujets engagés, des ouragans américains aux populations indigènes d’Amérique du Sud jusqu’aux forêts vaudoues du Bénin. 

Initial LABO et Métropole, partenaires du festival, apportent comme chaque année le savoir-faire de la photographie allié à l’impression très grand format.

Nos équipes ont ainsi accompagné les expositions de :

Viviane Dalles, Mitch DobrownerBobbi LockyerGeorge SteinmetzAnne Zahalka  ainsi que les toiles grand format de Matthew Abbott

Elles seront à retrouver aux côtés des autres artistes de la sélection : 

Narelle AutioTorsten BlackwoodTamara DeanAdam Ferguson,Trent Parke pour l’Australie, et aussi Alessandro CinqueLouis JohnsUlla LohmannJoel MeyerowitzAlice Pallot, Bernard Plossu, George Steinmetz , Gaël TurineSophie Zénon, ainsi que Anoek De Groot, Saeed Khan, Torsten Blackwood de l’ Agence France-Presse et les Collégiens du Morbihan.

Fruit d’une collaboration globale entre Magnum Photos et Veuve Clicquot, l’exposition itinérante “Emotions of the Sun” célèbre la force et la beauté du soleil à travers une sélection de 40 images par huit des photographes de l’agence :

Steve McCurryCristina de MiddelNanna HeitmannLindokuhle SobekwaNewsha Tavakolian, Olivia ArthurTrent Parke et Alex Webb.  

Les artistes nous transmettent les émotions que leur inspire le soleil : les voilages produits par le labo se sont inscrits avec légèreté dans la scénographie aérienne dont la curation a été confiée à Pauline Vermare, commissaire d’exposition, et au coeur de l’espace conçu pour l’occasion par la designer Constance Guisset. L’exposition, d’abord présentée lors de la semaine du design de Milan en avril, se posera dès le mois de juin à New York.

Du 11 Juin au 7 Septembre 2024 

Exposée en avril au festival  “Are You Experiencing” du Havre, la si singulière série “After Dark” de Sabine Sursock Agostini se pose en juin à Initial LABO. Pour un mois, la galerie se fait le théâtre d’une atmosphère cinématographique crépusculaire : quarante cinq photographies, qui tiennent autant d’Edward Hopper que du polar néo-noir, oscillent entre calme trompeur et étrangeté électrique. 

Le tirage sur papier métallique et les encadrements proposés par les tireurs renforcent la lumière dramatique, et subliment le travail de Sabine Sursock fait d’ombre et de lumière, de couleurs saturées, de silhouettes et de brumes. 

Vernissage le 11 Juin à partir de 18h00. 

 

Samedi 1er Juin 2024 à 19h30

Une palissade-œuvre pour un haut lieu de la création contemporaine !
Après une invitation à intervenir sur la façade de l’actuel bâtiment des Ateliers MédicisRayan Yasmineh poursuit ce projet en investissant le chantier du futur bâtiment.

“Pérégrination vers l’Est” s’approprie les motifs d’un tapis persan orné de divers tableaux de la collection de l’artiste, et unit orient et occident autour de la thématique commune de l’Éden ou du paradis. Tels des orfèvres du dibond, nos équipes Métropole ont recréé une palissade qui sera inaugurée pour la Nuit Blanche du 1er juin.

© Rayan Yasmineh

Place de la Concorde

L’Automobile Club de France inaugure dans un cadre d’exception, le nouvel écrin de sa galerie avec les photographies d’Ewan Lebourdais, photographe et peintre officiel de la Marine nationale depuis 2021. Son travail est à découvrir dans la très belle édition d’ Escourbiac à trouver dans la librairie d’Initial LABO.


Le mobilier d’exposition a été conçu et produit par l’équipe de Stratus. Un mobilier amovible fait d’élégantes plaques d’acier, tendues entre sol et plafond par des filins d’acier, et laquées de deux couleurs recto verso pour varier les scénographies. Des crochets aimantés permettent d’y présenter des œuvres de tout format.

Du 13 Mai au 1er Juin 2024 

Bienvenue à l’exposition de la première édition de RPBB, les Rencontres photographiques de Boulogne- Billancourt.

Créée en 2022, l’association a pour vocation de promouvoir le regard documentaire, visant à une meilleure connaissance et compréhension de notre monde. Entre rencontres avec des experts et dotation d’une bourse, RPBB veut offrir une plateforme de reconnaissance et d’encouragement aux photographes au sein de notre ville. 

Initial LABO accueille Anaïs Tondeur, première lauréate du Grand Prix RPBB 2024 avec la série «Noir de Carbone». Distinguée tant pour son protocole photographique unique que pour son engagement écologique, la photographe poursuit cette écriture photographique singulière que l’on aime tant au laboratoire, au carrefour de la précision scientifique et de la poésie. 

Le noir de carbone est un polluant atmosphérique produit par les activités industrielles humaines. Anaïs l’a collecté et l’a utilisé pour produire des tirages originaux en petit format qui ont été scannés et puis tirés en grand format. Le choix de la piézographie prend ici tout son sens, car cette technique utilise des encres à base de charbon et carbone en donner de la profondeur à toutes les subtiles nuances de gris présentes dans le travail d’Anaïs Tondeur.

Du 5 au 15 Octobre 2023

Une belle collaboration se dessine cette année avec la 7e édition d’InCadaquès, un festival photo singulier qui plonge ses racines dans un territoire méditerranéen, frontalier et surréaliste, patrie de Salvator Dalí, Man Ray ou Richard Hamilton. Parmi les expositions de 35 auteurs issus de 21 pays répartis dans les galeries d’art et espaces emblématiques de Cadaqués dont les fonds sous-marins (!), Initial LABO a l’immense plaisir de tirer le parcours photographique surréaliste Light: Essence of photography du cinéaste et photographe David Lynch dans les jardins de la Casa Salvator Dalí.

Pour ce projet, Initial LABO a offert la production des tirages de photographes contemporains comme Jochen Lempert, Michael E.Smith, ou du début du XXe siècle comme Jean Painlevé et Dora Maar. Une émotion à la hauteur du projet de Musée-valise, oeuvre plastique, théâtrale et onirique de la Fondation Carmignac en partenariat avec le GHU Paris psychiatrie & neurosciences à destination des patients et soignants de l’hôpital.

Moment exceptionnel pour les tireurs d’Initial LABO qui, sur les scans de Jean Painlevé et Dora Maar, ont su tirer au plus proche de la vérité de l’archive.

Un travail exigeant d’analyse de fichiers pour distinguer des traces et poussières historiques des défauts des scans modernes, de chromie et de choix de papiers. 

Jean Painlevé
Jean Painlevé

Le Bal des Rejetons

30 Septembre

Une rencontre immanquable avec onze photographes du Bal des Rejetons , ce collectif engagé à raconter la France sous toutes ses coutures. Candidats à la Grande commande photojournalisme de la Bnf, mais non sélectionnés comme lauréats, ils et elles ont poursuivi le travail commencé dans la phase de dossier pour faire exister malgré tout cette radiographie complémentaire de la France. Une somme documentaire importante, aux écritures allant du photojournalisme à la photo plasticienne. Au programme de cette rencontre à la librairie du labo, une projection, des échanges et dédicaces avec Laetitia d’Aboville, Nathalie Baetens, Severine Carreau, Emmanuelle Corne, Remi Decoster, Olivier Donnars, Robin Jaffin, Alain Le Bacquer, Florent Pommier, Elodie Ratsimbazafy et Lucy Vigoureux.

Du 10 Juillet au 14 Juillet 2024

C’est toujours avec émotion que nous accompagnons la naissance d’un projet ambitieux : la galerie Année Zéro, fondée par Sébastien Drhey et Matthieu Mantovani en 2023, monte sa toute première exposition, “Terra Mirabilis”. Le duo s’est donné pour mission de soutenir la nouvelle génération d’artistes se servant de l’intelligence artificielle générative, porteuse de nouveaux récits et de nouvelles esthétiques. 

Initial LABO a accompagné les galeristes à définir les papiers et encadrements pour matérialiser de la manière la plus juste le travail “post-photographiques” des 22 artistes. 

Vernissage ce soir, le 10 juillet, à partir de 18h00.

Longue vie à la Galerie Année Zéro !

Produit par Initial LABO 

© beyond_human
© AI. S.A.M
© Andrea Ciulu
© Innervision

La photographie contemporaine investit le 10e arrondissement à travers des expositions, projections et rencontres, insufflant l’esprit de partage, de confrontation et d’ouverture qui fait sa renommée depuis 10 ans. Sous la houlette du collectif Fetart, qui porte depuis 13 ans le festival Circulation(s), l’arrondissement vivant et pluriel devient un écrin de la jeune photographie et favorise son accès à tous grâce à des formats en plein air. Initial LABO continue à tisser des liens entre le laboratoire et les photographes, en accompagnant les huit lauréats de l’édition 2023 dans la production de leurs tirages: Bastien Deschamps, Adrien Selbert, Souleymane Bachir Diaw, Olenka Carrasco , Rebecca Topakian,  Julien  Bonnaire et Antoinette Giret. 

Du 28 Septembre au 28 Octobre 2023

Le Sénat x National Geographic – 16 septembre au 14 janvier 2024

La culture du sport pour faire écho aux Jeux Olympiques et Paralympiques : National Geographic a mené pendant un an un intense travail de recherche pour sélectionner 80 photographies actuelles ou d’archive. Depuis les premiers portraits de sportifs par les photographes du magazine au début du 20e siècle, National Geographic s’est fait le témoin de l’amour du sport, du partage et du dépassement de soi, qui ressortent de chacune de ces images prises sur les cinq continents. Nous avons produit et assurons l’installation, la maintenance et la dépose de l’exposition : un projet qui mêle le savoir-faire d’Initial LABO, de Métropole et de la société Stratus spécialisée en structures évènementielles, entrée dans le groupe il y a plus d’un an.

Entrée libre, tous les jours de 10h à 20h, du 2 au 17 septembre 2023 à Perpignan

Partenaire du festival Visa pour l’image depuis de nombreuses années, Initial LABO poursuit cette collaboration pour cette 35 ème édition.

Le plus grand festival international de photojournalisme

Visa pour l’Image est le plus grand festival international de photojournalisme qui réunit chaque année début septembre à Perpignan, des milliers de visiteurs. Il invite les visiteurs à découvrir à travers la ville une vingtaine de reportages réalisés par des photojournalistes du monde entier

C’est également un très bon moyen de découvrir la ville de Perpignan, les expositions de photos ayant lieu dans des lieux emblématiques : le Couvent des Minimes, l’église des Dominicains, l’Arsenal des Carmes, Le Théâtre de l’Archipel, L’hôtel Pams, le Palais de Corts, la chapelle du tiers-Ordre.

Les expositions à découvrir

Cette année encore, Initial LABO a mis à disposition son expertise dans la production des expositions :

Photographie de l’anthropocène” de James Balog

Pendant quarante ans, James Balog a photographié la beauté de nos ressources naturelles et l’impact dévastateur du changement climatique sur la terre et les personnes qui y vivent. Il a étudié les conséquences des actions de l’humain sur l’équilibre du monde naturel en se penchant sur des événements interdépendants : la fonte des glaciers, la montée du niveau des mers, le réchauffement des océans, la pollution atmosphérique, les températures dont la hausse rend certaines régions inhabitables, et la force destructrice des ouragans, inondations et feux de forêt de plus en plus violents.

Le passé n’est jamais mort” de Mark Peterson

Le passé continue de façonner l’avenir de l’Amérique, où un président comme Trump peut jouer des peurs de son électorat riche et puissant, et lui faire croire au grand remplacement.
Ce mouvement a pris un virage inquiétant, passant de la violence meurtrière à Charlottesville en 2017 et l’insurrection au Capitole en 2021 à des rassemblements plus discrets de nationalistes blancs en costume-cravate qui élaborent des stratégies dans des salles de conférences, ou des pique-niques du dimanche où les enfants entonnent des chants à la gloire des soldats morts pour la défense des États confédérés.

“Louisiane : les premiers réfugiés climatiques des États-Unis” de Sandra Melh

Aux confins de la Louisiane, à 130 km au sud de la Nouvelle-Orléans, l’Isle de Jean-Charles sombre peu à peu. Aujourd’hui réduite à 3 km de long sur 300 m de large, l’île a perdu 98 % de sa surface depuis 1955. En cause : la montée des eaux, l’érosion côtière et l’exploitation pétrolière. En 2016, le gouvernement fédéral a alloué 48 millions de dollars à l’État de Louisiane pour organiser la relocalisation de ses habitants, à 70 km au nord. Effective depuis 2022, ils sont considérés comme les premiers réfugiés climatiques officiels des États-Unis.

“Recerchercher, sauver et protéger” de Michael Bunel

Plus de 20 000 morts. Depuis plusieurs années maintenant, différentes ONG telles que SOS Méditerranée ou Médecins sans frontières affrètent des bateaux de sauvetage en Méditerranée. Pour toutes, un même et unique but : porter assistance aux personnes qui, depuis la Libye, tentent de rallier l’Europe en traversant la mer. À l’heure d’une Europe forteresse, ce reportage nous emmène aux côtés de ceux qui ont choisi d’apporter leur aide et un semblant d’humanité à ces personnes en exil, quand pratiquement plus aucune voie légale n’existe pour elles.

“Water” de Ian Berry

Après avoir travaillé plusieurs années sur l’eau et son rôle dans le changement climatique, Ian Berry a récemment publié Water (édité par GOST Books), livre dont est issue cette exposition.
Le projet initial portait sur l’importance de l’eau dans les rites religieux, mais frappé par tous les événements liés au climat, le photographe a changé d’approche pour se concentrer sur l’eau elle-même. Des voyages le long de plusieurs grands fleuves forment une enquête sur l’ingérence de l’homme dans la nature : la construction de barrages, l’irrigation et la pollution, les effets sur le cours et le débit des fleuves, et les conséquences pour les populations locales.

“Wild West Tech” de Laura Morton

Les entrepreneurs ont afflué à San Francisco et dans la Silicon Valley, épicentre mondial de l’industrie technologique, pour participer à la ruée vers l’or contemporaine. Ils vivent ensemble, travaillent ensemble 24 heures sur 24 et font la fête ensemble, tout en cherchant à créer des entreprises technologiques performantes. Bien qu’ils évoluent dans une bulle, leurs créations ont un impact sur le monde entier.

Depuis les débuts du Festival Escales Photos Métropole produit les tirages de chaque exposition. Cette année encore, Initial LABO est ravi de rendre hommage à cette collaboration, ce rendez-vous photographique ainsi qu’à ses photographes.

Valoriser un territoire à travers l’art photographique

Le festival du Mor Braz accroche depuis 2013 des reportages photos dans 7 communes de la Baie de Quiberon : Locmariaquer, La Trinité-sur-Mer, Plouharnel, Le Palais (Belle-Île-en-Mer), Houat, Hoëdic et Arzon.

Le concept artistique et humaniste d’« Escales Photos, festival du Mor Braz », lancé en 2013, vise à rapprocher l’œuvre photographique du lieu de sa création ou de son créateur. Son objectif est d’inviter le grand public à porter un regard différent sur son environnement et de susciter l’émotion de la rencontre entre une œuvre et un lieu. Ces trois principes fondamentaux constituent les bases d’Escales Photos, un festival soutenu par les collectivités territoriales, des partenaires privés ainsi que par les habitants, véritables ambassadeurs des destinations.

Durant la période du 15 juin au 31 octobre de cette année, les images en grand format du festival sont exposées de manière spectaculaire, qu’il s’agisse des façades des habitations, des villages ou des espaces naturels. Chaque année, une scénographie minutieuse est élaborée pour rechercher les thématiques, sélectionner les images et les disposer sur les sites.

Expositions de la 11 ème édition du Festival

Les expositions à LOCMARIAQUER

“DE PIERRE, DE CIEL, DE TERRE PAR LE COLLECTIF” – Tendance Floue

Exposition à 6 yeux du collectif Tendance Floue. Il y sera question de terre, de ciel et de pierre ! Denis Bourges, Alain Willaume et Flore-Aël Surun accrocheront leur regard sur les murs de Locmariaquer. Interface entre le ciel et la terre, constructions humaines nimbées de mystères et sujets aux croyances les plus variées, les 3 photographes ont cherché à faire émerger toutes les facettes de ces monuments multi-millénaires qui fascinent autant qu’ils déroutent le visiteur.

Denis Bourges

Alain Willaume

Flore-Aël Surun

“TOUS LES MARINS ONT LES YEUX BLEUS” – Maud Bernos

Exposé aux Rencontres Photographiques d’Arles, BLUE EYES, « Portraits de Navigateurs » deviendra « Tous les marins ont les yeux bleus » sous la plume de Maylis de Kerangal. Maud Bernos a capturé durant trois ans – en noir & blanc à l’Hasselblad – le regard de ses héros à leur retour à terre, à l’arrivée de la course. Ce sujet, succès d’édition n’avait jamais été exposé en grand format extérieur.

Dans le livre « Tous les marins ont les yeux bleus » Maylis de Kerangal écrit : « ce sont des portraits photographiques, des portraits de marins. Tous ont été réalisés selon un mode opératoire identique -même lumière, même format, même objectif, un Hasselblad argentique – et dans une situation précise celle d’un retour de mer, d’un retour à terre parmi les hommes.” Maud Bernos nous propose une sélection de 20 de ses portraits.

Les expositions à PLOUHARNEL

DES RIVES – MOR BRAZ / SÉNÉGAL – BASTIEN DEFIVES

« Des rives – Mor Braz / Sénégal » propose un regard croisé entre deux zones littorales distantes. Regarder ailleurs, c’est aussi mieux comprendre notre quotidien car aucune zone littorale n’échappe plus à la planification humaine. Parcourir les côtes françaises à pied, sac au dos, dormir sur place et fixer les lumières de l’aube au crépuscule… a permis à Bastien Defives de dresser un état des lieux photographique d’une frontière qui n’a souvent plus de naturelle que le nom. Les photographies sont ici mises en rapport avec des images du littoral sénégalais prises en 2013 et 2014. Ces diptyques questionnent les différences et les similitudes de ces deux territoires aux réalités bien différentes, mais qui font face au même océan.

LA PARENTHÈSE CHRONIQUE D’UN CONFINEMENT – CHRISTOPHE LE POTIER & XAVIER DUBOIS

Il y a des périodes qui façonnent l’histoire, l’histoire d’un pays, voire de l’humanité. Bien malin celui qui saurait dire avec certitude si ces presque trois mois permettront de changer durablement nos habitudes mais malgré tout ils auront été une expérience unique pour nombre d’entre nous. En tant que témoin privilégié, il est apparu important que le festival conserve la trace de cette période. C’est donc équipés d’un drone et l’appareil photo au poing, pour capter la marque du confinement sur les paysages littoraux et insulaires, que Christophe Le Potier et Xavier Dubois sont allés à la rencontre des habitants.

CIEL DU MOR BRAZ – LAURENT LAVEDER

Les ruelles du bourg de Plouharnel accueillent cette année les photographies de Laurent Laveder. Vingt photos pour une invitation à explorer constellations, voie lactée, pluies d’étoiles filantes, lumière zodiacale, plancton phosphorescent sous une voûte céleste étoilée, triangle d’été ou
ciel d’hiver depuis différents sites des six communes du Mor Braz. Une exposition à découvrir qui ravira petits et grands, experts ou astronomes en herbe.

Les expositions à HOËDIC

VACANCES À BELLE-ÎLE – PIERRE JAMET

C’est dans la mouvance des grands photographes humanistes de son temps que Pierre Jamet a saisi des scènes de la vie à Belle-Île-en-Mer. Par l’intermédiaire de ses photographies, il nous transmet à la fois un témoignage important de l’histoire belliloise et la poésie d’une époque où rêves et réalités se mêlaient avec bonheur et simplicité.

LA VIE ICI LA VIE LÀ-BAS – FABRICE LE HENANFF ET FABRICE PICARD

Rencontres avec des hommes et des femmes qui venus d’un ailleurs proche ou lointain pour se construire une vie ici dans le Mor Braz (Morbihan).

Les expositions à HOUAT

“VIVRE PARMI LES PIERRES” D’ISRAËL ARIÑO et CLARA GASSULL

Houat  accueille cette année  le travail singulier d’un duo de photographes qui prend le temps de la pose. Moyen format et chambre photographique sont les outils de prédilection d’Israël Ariño qui en compagnie de Clara Gassull est parti à la rencontre de tous ceux qui vivent au milieu des menhirs, dolmen et autres tumulus. Archéologues, techniciens mais aussi habitants ou simplement amoureux des pierres ont accepté de prendre le temps d’être photographiés comme il y a 150 ans, à la chambre photographique, en tenant la pose. Certains d’entre eux se sont prêtés au jeu de l’interview et grâce à Paysage de Mégalithes et Glaneurs de Mémoires vous pourrez entendre leur confidence tout en voyageant dans l’univers en noir et blanc des pierres ancestrales.

Les expositions à LA TRINITÉ-SUR-MER

“DON’T LOOK AROUND !” – KOURTNEY ROY

La Trinité-sur-Mer a le plaisir de voir ses murs habillés d’une création exclusive signée Kourtney Roy. La photographe franco-canadienne a relevé le pari, avec l’aide des habitants de la région, d’intégrer différents sites mégalithiques dans son univers photographique si particulier. A mi-chemin entre une science-fiction un peu démodée et une photographie vintage tout droit venue des magazines en papier glacé des années 50,  elle crée des scènes où s’entre-choquent la présence des mégalithes et de personnages semblant venir d’un passé fictif mais chargé de références. Des références à la culture populaire, aux années 80 ou aux figures féminines du cinéma américain. Une photographie qui agit comme un miroir fantastique. 

Les expositions au PALAIS BELLE-ÎLE

PÔLES SENSIBLES – XAVIER BOSHER & LOUIS GAIN

Louis Gain est originaire d’une famille singulière du Cotentin, composée de scientifiques, d’artistes et d’aventuriers, les mêmes personnes cumulant souvent les trois disciplines. En 1908, il embarque à bord du Pourquoi-pas ? du Commandant Charcot, partant parmi les pionniers pour l’Antarctique où tout est à explorer. Le voyage dure deux ans. En plus de résultats scientifiques conséquents, Louis Gain en reviendra avec d’impressionnantes photographies. En 2008, l’équipe de « Pôle sensible » est retournée sur ses traces, avec un appareil panoramique, revisitant sa pratique de photographe naturaliste. L’exposition est un hommage à ces explorateurs visionnaires. Ils ont ouvert la voie à la recherche en Antarctique, aujourd’hui « continent de science et de paix » qui joue un rôle clé dans la compréhension de notre planète. 

PETIT PEUPLE DE L’ESTRAN – KATELL MARY

Lièvre de mer, ophiure, littorine, helcion, porte écuelle… autant d’espèces qui peuplent nos estrans. Autant d’animaux qui nous emmènent dans un micro univers dont Katel Mary extrait la fragilité, la grâce et la beauté avec une poésie qui émerveille. Katel a promené son œil averti et son objectif macro d’Hoëdic, à Locmariaquer en passant par La Trinité-sur-Mer. Grâce à elle nous sommes en mesure de nous enthousiasmer pour ce monde en miniature et de veiller à sa protection.

L’exposition à ARZON

ENTRE DEUX EAUX DE DENIS BOURGES – COLLECTIF TENDANCE FLOUE

L’ostréiculture est au cœur de la thématique de l’exposition de Denis Bourges. Activité emblématique et non délocalisable du Morbihan Sud, elle constitue le fleuron du secteur primaire avec chaque année, plus de 10 000 tonnes d’huîtres produites. Les marées, la météo et ses caprices sont les deux composantes qui rythment le travail quotidien de l’ostréiculteur. Aux mortes eaux, le travail se fait dans le chantier, aux vives eaux, sur les parcs. C’est ce travail, à la fois contraignant et passionnant, qui a guidé le photographe.

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