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Ecouter Mandarine

Découvrez l’exposition de l’artiste coréenne Changnam Lee, exposée pour la première fois en France chez Initial LABO du 19 septembre au 10 octobre 2022.

Vernissage le samedi 24 septembre en présence de l’artiste

L’artiste coréenne Changnam Lee

Artiste coréenne née en 1964, diplômée de l’école supérieure des arts de l’Université Chung-An ainsi que de la College of Art de l’Université Kyungwan. Changnam Lee est chargée de cours au College of Art de
l’université de Dankook et Maitre de conférence à l’Université nationale de Kangwon. Son travail à été exposé à de nombreuses reprises en Corée du Sud, en Chine, au Japon, en Malaisie et à Singapour, que ce soit dans des musées d’Art, des galleries ou des salons d’art. Ces oeuvres ont intégrées diverses collections que ce soit le Pavillon Jongno-Qu,, le Centre de Hallin, le Musée National d’Art Moderne et contemporain ainsi que des fondations privées.

La vague réagit à la lumière

“Dans ma mémoire, la mer a un flux continu plus large que l’instant fugace. L’océan, avec le flux de mes émotions et de la lumière est encore plus vaste et infini. Face à lui, je me libère de mes souvenirs qui m’emprisonnent et trouve un instant de réconfort .

Au moment où les vagues rugueuses frappent fortement le rivage et se détachent, mes émotions refoulées et inconnues disparaissent également. Ma série d’œuvres capture le flux des vagues dans
l’obscurité. Le flux continu d’ondes se décompose en divers spectres dès que l’on appuie sur l’obturateur et prend une apparence peu familière. Au-delà de la reproduction de la réalité, celle-ci est reproduite sous forme d’ondes d’irréalité et d’ondes aux couleurs variées. C’est ainsi que les émotions incertaines nées de la distance physique entre la mer et moi s’expriment de diverses manières en superposant les images rémanentes dans la mémoire.

Au travers de ces rencontres avec la mer , je m’abandonne et je m’abandonne et introspecte cette face caché de moi-même. L’anxiété , le désir, la réalité , l’insatisfaction qui jusqu’alors étaient réprimés, rugissent de l’intérieur tel une vague.

J’ai toujours envie de la mer. C’est parce que je rencontre un moment magique qui révèle honnêtement mes différentes facettes de mes émotions cachées et que je me délivre des contraintes de mon esprit.

Texte de Geun-Ho Yoo sur l’oeuvre de Changnam Lee

L’ œuvre de Changnam pourrait se méprendre à un tableau peint. La texture du tableau fascine et attire l’œil . Il représente la confrontation entre l’être intérieur et Mère Nature mais aussi paradoxalement son harmonieuse réconciliation.


Ces œuvres, prennent en compte la photographie expérimental et sensuelle en se délestant au possible de la première impression de l’image, sont le résultat inattendu de la prise dans le cadre du photographe.
Le moment et l’angle de prise de vue que prend Changnam est un croisement entre l’environnement et le croisement physiologique émanant de l’écran dont nous sommes témoins C’est un décalage dynamique positif et une coïncidence qui se déroule simultanément. L’ artiste ne doit pas seulement faire face à la mer rugissante de tempêtes d’averses, de blizzards et de vagues, mais aussi capturer l’angle entre la camera, l’artiste elle-même et la magnificence de Mère Nature.


Ainsi cette séparation représente la purification entre l’auteur et le sujet mais aussi la séparation entre l’auteur et la lumière. Cependant de façon cognitive il n’existe pas de correspondance direct entre la couleurs de l’objet et la distance de la lumière réfléchie. Donc cette œuvre doit être comprise comme la
coordination dont la résultante est un structure intégrée de l’artiste et de son environnement.
Des que nous comprenons cet élément, nous pouvons dès lors parler de l’essence de l’auteur et de son œuvre et ainsi imaginer l’état calme du tableau dissipé par le son intense de la neige , de
la pluie et du vent appelant les vagues.

À l’occasion de la sortie du livre photographique «Un Bain Sous La Mer», nous vous invitons à découvrir le travail de Franck Seguin sur le parcours sensoriel de redécouverte de la mer par Guillaume Néry.

Cette série photographique se veut intime et dialogue avec les questionnements du quadruple champion du monde d’apnée sur son milieu de prédilection, la mer! Franck Seguin nous propose un travail touchant, délicat et poétique réalisé en noir et blanc qui dévoile une collaboration inédite entre deux grandes figures du sport.

DU 01 AU 15 juin

Une exposition et un livre

Initial LABO a imaginé avec Franck Seguin un livre qui dialogue avec le récit de Guillaume Néry édité chez Arthaud en mars dernier. De cette idée est née le recueil photographique «Un Bain Sous La Mer», imprimé par Escourbiac en 1000 exemplaires dont une série de tête de 300 exemplaires accompagnés chacun d’un tirage charbon sur papier Hahnemühle Fine Art, signé. Nous avons également imaginé un coffret qui réunit les deux ouvrages qui seront proposés à Initial LABO.

Franck Seguin, un grand photographe dans le milieu sous-marins

Franck Seguin est photographe et rédacteur en chef du département photo du journal L’Équipe. Primé a des nombreuses reprises pour ses photographies notamment en milieu sportif, Franck décide de autoéditer et donner au public les histoires de ses sujets…

Guillaume Néry, champion du monde de plongée

Guillaume Néry fut sacré quatre fois champion du monde d’apnée dans la discipline du poids constant (descente et remontée en palmant). Dans les profondeurs aquatiques, il a testé les limites de son corps jusqu’à ce 10 septembre 2015. Après un accident qui a failli lui coûter la vie, l’apnéiste appréhende la mer différemment, il passe du sport à la contemplation et fait de la mer un espace intime et un lieu de création.

“Nature Aquatique”

« Je suis entièrement sous l’eau. La pointe de mes cheveux effleure la surface toute proche. Je les sens danser librement. Les bras se déploient avec légèreté, les mains se délient, dialoguent avec le fluide. Les pieds qui reposent à peine sur le fond ajustent leurs appuis. L’équilibre est rétabli. Le corps que la gravité a cloué sur terre retrouve ses réflexes aquatiques. Je reste ainsi quelques secondes dans une immobilité relative en forme de recueillement. La mer m’a tant manqué. » 

Guillaume Néry, extrait du livre Nature Aquatique, éditions Arthaud.

“Un bain sous la mer”

« Mes bras se balancent dans le fluide,

mes pieds effleurent le fond,

mes cheveux se courbent avec les courants.

Je marche,

je cours,

je saute,

je rampe,

je vole,

je nage,

je flotte.

J’ai rejoint le royaume de la légèreté.

Parfois je regarde vers le haut.

Je contemple le plafond ondulé

qui tapisse le monde englouti.»

Guillaume Néry, extrait du livre «Un Bain Sous La Mer», autoédition.

Initial LABO et le Forum Culturel Autrichien sont heureux de présenter l'exposition "PARIS/NYC" de David BACHER. Une exposition à découvrir au sein de notre galerie du 07 au 28 mai 2022.

Proposée par Initial LABO et le Forum Culturel Autrichien

Du 07 au 28 mai 2022

David Bacher, porter son regard sur le monde à travers son appareil photo

David Bacher est un photographe et peintre américain et autrichien qui vit en France depuis 18 ans. Il travaille pour la presse et collabore également avec des organisations internationales telles que les Nations Unies. Il est né et a grandi aux États-Unis dans l’État de Virginie. Là- bas il obtient un diplôme d’économie et d’anthropologie à l’université de Virginie. Ces deux disciplines influencent son regard sur le monde autour de lui.

David porte son regard sur le monde à travers son appareil photo. Il attache une importance toute particulière à la coexistence entre les peuples indigènes et les sociétés occidentales. Il étudie à l’École Danoise de Photojournalisme et acquiert une expérience professionnelle dans le domaine de la photographie commerciale. Celle-ci lui permet de développer un style personnel à travers l’utilisation de diverses techniques en fonction du sujet et de l’environnement.

Il est particulièrement fasciné et inspiré par la photographie humaniste notamment celles des photographes comme Vivian Maier, Henri-Cartier Bresson ou Robert Frank. David est également intéressé par les nuances dans la vie quotidienne, souvent négligées ou pas remarquées. En balayant la ville de son regard fluide, il capture avec sa caméra les émotions des gens autour de lui. Parfois il juxtapose plusieurs éléments sur des plans différents. D’ailleurs, selon Carole Naggar « David crée souvent des trompe-l’œil ou il bouscule les perspectives, donnant aux reflets et aux ombres une présence aussi réelle que celle des corps et des visages qui peuplent le théâtre de ses rues. » Dans la préface du livre elle a également remarqué : « s’il n’est pas ouvertement politique, David Bacher excelle toutefois dans les commentaires sociaux indirects et subtils et il saisit les incongruités et les contradictions de la vie quotidienne, en particulier les décalages inter raciaux et culturels. »

PARIS/NYC le résultat de quinze ans de photographie

PARIS/ NYC est un travail photographique regroupant quinze ans de photographie autour de ses deux villes de cœur. En effet, David a commencé à photographier dans Paris dès son arrivée en 2004 et plus tard à New York en 2008. Durant ces années David BACHER arpente les rues toujours à l’affût de moments inattendus capturant l’âme de celles-ci.

Aujourd’hui David BACHER présente PARIS/NYC sous la forme d’une exposition. Elle sera tout d’abord disponible en exclusivité chez Initial LABO et voyagera ensuite dans d’autres villes de France.

Ses images, une façon de jouer avec le monde.

PARIS/ NYC est une sorte de chasse au trésor au cours de laquelle le spectateur peut découvrir et interpréter Paris et New York d’une manière amusante, et qui invite à la réflexion. Souvent, les photographies se reflètent les unes les autres, et tout aussi souvent, il est difficile de distinguer au premier abord dans quelle ville la photo provient. Ainsi, en jouant sur les effets de la mondialisation, le photographe invite son spectateur à réfléchir et souvent à hésiter à la déterminer. Ce sont ces différents niveaux de complexité qui nous obligent à étudier avec attention chaque image. David aime les photos qui sont directes et compréhensibles mais qui nous encouragent en même temps à nous poser des questions.

A la suite de son travail David Bacher y découvre une grande similitude : Pour lui, « Paris et New York sont comme deux décors de théâtre avec des milliers d’acteurs sans rôles prédéfinis »

Site internet du Forum Culturel Autrichien : Forum Culturel Autrichien (austrocult.fr)

Site internet de David Bacher : David Bacher Photographer – Paris – Nantes

Bernard Descamps – Sophie Hatier – Yusuf Sevinçli

Initial LABO et la Fondation des Treilles présentent chaque début d’année, le travail de résidence réalisé par les lauréats du Prix Résidence de la Fondation des Treilleset dévoile les noms des futurs résidents à l’occasion d’une exposition. Exposition du 01 au 26 février.

Découvrez à partir du mardi 1 er février le travail de Bernard Deschamps, Sophie Hatier et Yusuf Sevinçli, le vernissage de l’exposition, le jeudi 3 février sera l’occasion de révéler les noms des lauréats résidents 2022.

Initial LABO et la Fondation des Treilles

Institution exceptionnelle dans le domaine de la recherche et des arts, accueille depuis quatre décennies de nombreux chercheurs et artistes, essentiellement écrivains et photographes.

Créé en 2011, le Prix pour la Photographie décerne chaque année des lauréats sélectionnés sur un projet photographique traitant du monde méditerranéen témoignant des évolutions historiques, sociétales et artistiques de cette région.

Initial LABO, acteur majeur du tirage photographique professionnel, s’est mué en une plateforme créative dédiée aux photographes et à la photographie. Son concept est conçu pour accueillir éditeurs, photographes, amateurs et institutions de la photographie.

Ainsi le partenariat entre Initial LABO et la Fondation des Treilles permet depuis cette année d’exposer au sein de l’espace photographique d’Initial LABO, chaque mois de février, le fruit des travaux réalisés par les photographes en résidence au domaine des Treilles ainsi que la présentation des nouveaux lauréats.

Les lauréats 2021

En février 2021, le jury, présidé depuis 2014 par Laura Serani (directrice artistique, commissaire d’expositions et auteur) était composé de Bertrand Eveno (ancien Président des Gens d’Images, ancien Président de l’Agence France-Presse), Claire Lebel (membre du conseil d’administration de la Fondation des Treilles), Jean-Luc Monterosso (correspondant de l’Académie des Beaux-Arts, fondateur et ancien directeur de la Maison Européenne de la Photographie), Sarah Moon (photographe, réalisatrice) et Ricardo Vazquez (conservateur en chef du patrimoine, directeur de la culture des sports et de la Jeunesse au conseil départemental du Var).

Parmi les 82 candidatures reçues et les 44 dossiers sélectionnés, il a retenu les projets de Bernard Descamps, Sophie Hatier et Yusuf Sevinçli.

Bernard Descamps

Bernard Descamps est né en 1947 à Paris. Il devient photographe en 1975. C’est la légendaire revue suisse « Camera», qui publie pour la première fois ses photographies, en 1974. Sa première grande exposition est organisée par Jean-Claude Lemagny à la Bibliothèque Nationale de Paris en 1975. La même année, il expose avec Florence Henri à la galerie «m» à Bochum (Allemagne). En 1978, il réalise une exposition personnelle au centre Pompidou, à Paris.

Il est un des membres fondateurs de l’agence VU. Il est également co-fondateur des premières «rencontres de la photographie africaine» de Bamako.

A partir de 2002, la galerie Camera Obscura le représente et l’expose régulièrement. En 2014, il participe aux expositions collectives: «Visages» à la Vieille charité à Marseille, et «Le mur», collection Antoine de Galbert, à la Maison rouge, Paris.

De 1994 à 2012, il est directeur artistique de la galerie du théâtre La Passerelle, à Gap. En 2019, paraît son 11e livre aux éditions Filigranes : «Natura». Aujourd’hui il est représenté par la galerie Camera Obscura, à Paris, et la Box galerie à Bruxelles.

Le projet de Bernard Descamps

« J’aimerais suivre un itinéraire, celui du littoral, là où la mer rejoint la terre, que cette ligne soit naturelle ou fortement urbanisée… Cette démarche a souvent été la mienne : à Madagascar en 2013, au Vietnam dans les années 2000, au Japon en 1993 en France sur les côtes du Nord ou de Bretagne… Au cours de ce “voyage”, les photographies seront des rencontres, rencontres avec un lieu, des personnes, un évènement, mais surtout des rencontres avec soi-même. Dans son autobiographie Chroniques, Bob Dylan explique qu’une chanson ressemble à un rêve qu’on essaie de réaliser… Je pense que c’est un peu la même chose pour une photographie. Suivre le littoral et photographier, tailler dans l’espace et le temps. J’ai toujours espéré que, derrière l’aspect visible des choses, se cachait un esprit. Une sorte d’animisme où la photographie pourrait révéler un peu de cet au delà… Suffirait-il d’arrêter le temps pour voir au-delà des apparences ? Attraper un peu de cet invisible dont parle Pascal Quignard: « Le visible ne suffit pas à comprendre ce qui est vu. Le visible ne s’interprète qu’en référence à l’invisible ».

Sophie Hatier

Après avoir photographié des zones de conflits (Bosnie Herzégovine, Moyen Orient…) et travaillé dans de nombreux pays (Mongolie, Namibie, Sénégal, Arménie, Kamtchatka…), Sophie Hatier s’éloigne du reportage et se concentre depuis une dizaine d’années sur une approche plus plasticienne et sensorielle du paysage (France, Islande…), du portrait et du vivant en général.
Le travail de Sophie est tourné vers la nature et sa diversité. Une approche sans a priori où elle s’attache à regarder avec la même attention une personne, un animal, un végétal…sans échelle de valeur. « Photographier une personne comme une montagne et inversement ». Amoureuse de la couleur, gommant toute anecdote, ses images sondent le “presqu’abstrait”, le point de bascule entre la photographie et la peinture. Ses travaux sont régulièrement exposés dans des galeries en France et à l’étranger.
Elle est membre du collectif “France(s) Territoire Liquide” depuis 2011. Elle collabore aussi avec de nombreux magazines : Vogue, le Monde, le M du Monde, le Figaro magazine, le Point, Libération, Première, Air France Madame, Marie Claire Maison, de l’air…

En 2004 elle publie « Portraits Académie Équestre du Cheval de Versailles » aux Éditions Belin. En 2014, « France(s) Territoire Liquide, nouvelle mission photographique sur le territoire français » paraît aux Éditions du Seuil. En décembre 2020, un livre-photo de « Grignan au temps du confinement » sort aux Éditions Temporis.

Le Projet de Sophie Hatier

« Après l’Islande accidentée et volcanique, et ses magnifiques lumières du Nord, sourdes, mystérieuses, je cherchais un territoire inverse, où tout ne serait qu’horizon, lumière et couleurs du Sud qui irradieraient et satureraient l’espace. Une atmosphère méditerranéenne. Peu à peu la Camargue, que je connaissais bien sans l’avoir jamais photographiée pour autant, s’est imposée comme une évidence. C’est par l’eau que je l’ai abordée. La Camargue, c’est l’inverse d’une île. Une étendue d’eau au milieu des terres. Étangs, marais, salins, eau douce, eau saumâtre… Un paysage qui parait si sauvage mais qui résulte aussi d’interventions humaines de longue date sur un biotope très particulier, une tentative de domestication par de savants transferts de fluides… Un espace méditerranéen, avec ses couleurs, sa composition et sa matière. Et sur lesquelles la lumière agit comme un révélateur. Cette spécificité du territoire camarguais, j’ai envie de la capter en élargissant mon travail à d’autres formes de vie : le végétal, la faune et le portrait… Cette recherche d’une forme, en partant de la nature pour tendre vers l’humain, a toujours été au cœur de mon travail ».

« Je reste en plein air à cause du minéral, du végétal, de l’animal qui sont en moi » (Henri David Thoreau).

Yusuf Sevinçli

Yusuf Sevinçli est un photographe turc né en 1980, qui vit et travaille à Istanbul. Diplômé de la section Communication de l’université Marmara en 2003, il intègre l’année suivante une master class consacrée à la photographie documentaire en Suède. Il participe à la « Reflexions Masterclass » avec Giorgia Fiorio et Gabriel Bauret à Venise en 2011. En 2012, il publie son premier livre « Good dog » aux éditions Filigranes et depuis, il a publié sept autres ouvrages chez différents éditeurs, dont le récent « Tourmaline » (publication personnelle, 2020). Ses expositions personnelles incluent « Post » et « Oculus » présentées à la Galerie Filles du Calvaire de Paris, au Botanique de Bruxelles, au Galerist, à Istanbul, au Château d’Eau à Toulouse, et au Filatron, à Mulhouse. Son travail a en outre été présenté dans de nombreux festivals et expositions en Europe et à travers le monde.
L’œuvre de Yusuf Sevinçli est représentée par la Galerie Les Filles Du Calvaire à Paris et par Galerist, à Istanbul.

Le projet de Yusuf Sevinçli

«Cease Fire – Cyprus» explorera l’impression de l’histoire récente et du conflit sur le paysage de l’île de Chypre. Troisième plus grande île de la Méditerranée, Chypre se situe à un carrefour culturel, linguistique et historique entre l’Europe et l’Asie. Il existe un différend de très longue date entre Chypriotes grecs et Chypriotes turcs et l’histoire moderne de Chypre illustre le conflit entre la politique et le nationalisme. Cet affrontement a transformé une île multi-ethnique, multi-religieuse et multiculturelle en un paysage de différends, de séparation et de méfiance. Cease Fire n’aspire pas à «écrire» l’Histoire, mais à offrir une réponse viscérale subjective à la manière dont ces ambivalences s’impriment sur le paysage et les habitants d’une île littéralement coupée en deux.

« Au cours de mes séjours prolongés à Chypre, je tenterai de retracer les zones de partition spatiales et de conflit en même temps que les traces d’unification, de paix et d’intégration. J’essaierai aussi de décoder le silence et l’absence dans un paysage où rien ne se passe en apparence, comme une porte vers des réalités passées toujours en cours. Le projet me mettra au défi de confronter, de jouer et de comprendre, à travers la photographie, les effets perturbateurs de la politique sur la géographie et les gens. Ce qui m’intéresse surtout c’est de faire ressortir la militarisation latente mais extrême du paysage dans une si petite île. Sujet de nuances politiques et historiques infinies, Chypre a été jusqu’à présent négligée dans le domaine de la photographie. Et pourtant, au regard de la polarisation actuelle et des tensions croissantes dans le bassin méditerranéen oriental, cette île fournit des sujets très pertinents aujourd’hui ».

Exposition du mardi 1er février au samedi 26 février 2022

62, avenue Jean-Baptiste Clément

92100 Boulogne – Billancourt

Espace photographique ouvert du mardi au samedi de 10h à 19h.

Du 10/01 au 10/02 2022.

Un projet inédit pour les 10 ans du Festival Expolaroid.

Pour la prochaine édition qui marquera l’anniversaire des 10 ans du Festival en avril 2022, Initial Labo et le Festival lancent un appel à projet à destination de la communauté des photographes utilisant le Polaroid.

Le principe est de proposer la formation de duos entre 6 photographes expérimentés et 6 photographes émergents qui seront choisis parmi les candidats répondant à l’appel à duo. 

Véronique Bourgoin, François Darmigny, Thomas Dhellemmes, Jean-Daniel Lorieux, Alexandra Stefanakis et Margot Wallard.

Une exposition dans les vitrines d’Initial LABO.

Un jury collégial choisira la proposition de duo parmi les travaux des candidats qui pourront produire les deux semaines suivant l’annonce. Chaque duo formé investira l’une des 6 vitrines de la galerie. Outre l’exposition dans nos murs, les polaroids seront également reproduits dans le catalogue général du Festival, ainsi que sur une fresque anniversaire qui sera déployée le samedi 23 avril 2022 dans l’enceinte des Frigos du 13e lors d’un temps fort de la communauté Polaroïd où près de 200 polaroids y seront reproduits pour célébrer ce médium singulier. 

Un appel à la candidature non thématisé, exprimez librement votre créativité.

Vous pouvez puiser dans vos archives autant que dans votre production actuelle, le thème étant une réponse à une des propositions photographiques parmi les six photographes dont vous trouverez le projet ci-dessous.

C’est la richesse de vos propositions qui permettra d’associer vos créations à l’univers des 6 photographes référents. Nous attendons vos retours avec impatience avec la deadline du 10 février pour recevoir vos fichiers qui alimenteront et le catalogue print et la fresque anniversaire. 

Expolaroid, le Festival de la photographie instantanée

L’association Expolaroid a pour objet de développer, de promouvoir et de favoriser des activités et manifestations en lien avec la pratique, la démonstration, l’exposition de la photographie instantanée sous toutes ses formes et de toutes les marques existantes à ce jour, obsolètes ou à venir. Les moyens d’action de l’association sont notamment : l’organisation d’un événement récurrent et au moins annuel, dénommé « Expolaroid : le mois de la photographie instantanée ». Un évènement qui se veut rassembler les initiatives et les forces vives de la communauté Polaroid autour du plus célèbre support de création photographique.

Pour en découvrir plus : expolaroid.com et expolaroid-paris.fr

Pour postuler : gilles@initiallabo.com

Foot, Rap, même passion, même énergie

Du 18/12 au 15/01 (fermeture entre le 25/12 et le 03/01 inclus)

Sortie du premier livre de Elisa Parron “Numéro 10” chez Initial LABO  

Photographe talentueuse dribblant magnifiquement entre stade de football et salles de concert, Elisa Parron présente son premier livre consacré au PSG et à l’univers du rap français. 

Mixant intelligemment photos de matchs et de concerts elle nous fait également pénétrer dans les coulisses de ces deux mondes reliés par une même énergie et une même passion.

Que vous soyez fans de sport, de musique, amateur de photographie venez découvrir l’univers de Elisa Parron chez Initial LABO.

Exposition du samedi 18 décembre au samedi 15 janvier*.

Signature du livre le samedi 18/12 – 16h00 – 20h30.

Initial LABO

62, avenue Jean-Baptiste Clément
92100 Boulogne-Billancourt

Collection de photographies Initial LABO x Elisa Parron

A l’occasion de la sortie du livre “Numéro 10” nous vous proposons deux collections de photographies issues du travail de Elisa Parron autours du PSG et d’artistes musicaux majeurs.
Collection Matted Picture Initial LABO à partir de 69 €

Collection “Numero 10” à partir de 30 €

Processed with VSCO with b5 preset

“Un moment de photographie avec Initial LABO”

Dandy est la référence des magazines masculin de mode et de luxe . Il cultive les valeurs de l’élégance, du savoir être et du savoir vivre. Il s’attache à tout ce qui fait le style : l’habillement et l’accessoire, l’automobile, mais laisse aussi une large part à la culture. Initial LABO partage les même valeurs au sein de son concept store et c’est tout naturellement que Dandy nous à proposé d’écrire la rubrique “Un moment de photographie avec Initial LABO”. Vous pourrez y retrouver des interview de nos photographes (Emanuele Scorceletti, Stéphan Gladieu, Alizée le Maoult et Clarisse Rebotier ), mais également l’actualité des Festivals photographiques.

Dans le numéro 4 découvrez-en plus sur Clarisse Rebotier ainsi que sur l’éditeur Pierre Bessard en consultant l’article dans la rubrique spéciale “Un moment de photographie avec Initial LABO” dans le magazine Dandy.

A l’occasion des fêtes de fin d’année, Initial LABO vous propose chaque samedi du mois de décembre des rencontres avec photographes et un échange autours de leurs dernières parutions.

Samedi 04 Décembre – 15h

Payram – Dialogue photographique sur la route de la soie – Le Bec en l’air

En 1890 Paul Nadar entreprend un voyage vers l’Asie centrale en suivant la Route de la soie. Il en rapporte une impressionnante série de photographies témoignant de la modernité soviétique en marche, réalisées avec les premiers films gélatine Kodak.

Un siècle plus tard, Payram emprunte la même route. Photographiant à la chambre avec les ultimes films Kodak grand format, il capte le quotidien des ex-pays d’URSS en pleine réappropriation de leur histoire.

Ce livre met en dialogue leurs images en interrogeant la place de la photogra- phie dans le champ mémoriel et sa capacité à se saisir de l’histoire. L’originalité de sa forme – deux livres superposés assemblés et reliés – ajoute un écho supplémentaire à ces deux récits ambitieux qu’analysent Michel Poivert et Mathilde Falguière.

Jean-Christophe Béchet

Né en 1964 à Marseille, Jean-Christophe Béchet vit et travaille depuis 1990 à Paris.
Mêlant noir et blanc et couleur, argentique et numérique, 24x 36 et moyen format, polaroids et “accidents” photographiques, Jean-Christophe Béchet cherche pour chaque projet le “bon outil”, celui qui lui permettra de faire dialoguer de façon pertinente une interprétation du réel et une matière photographique.

Auteur prolifique, découvrez les derniers livres parus : Habana Song, URSS été 1991, Petits paysages américains, Eureka USA, American Animals

Samedi 11 décembre – 14h

Caroline Riegel – Semeuses de joie
Hemeria

Depuis 15 ans, j’ai noué une amitié forte avec des nonnes bouddhistes nichées au cœur du Zanskar (Himalaya). Ces liens, je les ai racontés une première fois dans un film, « Semeuses de Joie ». Aujourd’hui, ils deviennent un récit photographique au nom éponyme, une immersion dans leur univers de vie, rare et intime.

Avec ce récit des Semeuses de joie, je partage une expérience de vie, des regards de joie et d’espoir, un message teinté de sororité et de sagesse.
– Caroline Riegel

Samedi 11 décembre – 15h

Yan Morvan – Archives – Batt Coop

Derrière l’objectif d’un photo-reporter

Quelque part entre la poésie et le témoignage se trouve la réalité, et toutes ses fantaisies, même les plus extrêmes. Entre le sexe et la guerre, demeure le progrès, ses quelques vainqueurs et sa myriade de vaincus. Car c’est bien de cette mémoire dont parlent les Archives Yan Morvan. 

Découvrez la collection des Archives Yan Morvan ainsi que les “Hors Série” Burning Man et Guerre civile en Ouganda.

Fabien Voileau – La vie des autres

Découvrez le premier livre de photographies de Fabien Voileau, résultat de cinq années de travail au coeur de deux milieux chargés d’oppositions : l’océan et les mégalopoles. Ce beau livre de 144 pages présentera ces 80 meilleures photos de cette période.Un récit visuel personnel, esthétique et poétique qui raconte la synergie entre l’homme et les éléments, de l’Australie au Japon, en passant par les États-Unis et la France.

Antoine Lecharny – Ano Meria

” Les sensations affleurent. L’émotion est latente. Une tension. Un mystère. Les photographies d’Antoine Lecharny ont de l’épaisseur. De la chair. De la matière photographique, aussi. Celle qui sent bon la chimie de la chambre noire. Le récit se déploie, s’égare, prend des chemins de traverse. Noir & blanc et couleur dialoguent dans l’incertitude de leur réalité. Réalité, songe, souvenir d’un amour passé ?… ” Sylvie Hugues

Découvrez son nouveau livre Ano Meria limité à 300 exemplaires

Isabeau de Ruffignac – BHOPAL, 03/12/1984 – Editions de Juillet

Il était un peu après minuit ce 3 décembre 1984. Une nuit qui reste, dans les mémoires, comme étant celle du « désastre ». C’est ainsi que les habitants de Bhopal parlent de la pire catastrophe industrielle de notre histoire contemporaine : une fuite d’un gaz hautement toxique dans la nuit, des dizaines de milliers de morts, l’effroi et la colère parce qu’il ne restait plus que cela à vivre et à dire. Une nuit de cauchemar qui n’en finit pas.

Irène Jonas – Crépuscules – Editions de Juillet

“Enfant, il y a les visages graves et parfois douloureux des adultes qui se taisent quand elle entre dans la pièce, puis des phrases qui arrivent par bribes au fil des ans. Des noms et des lieux qui s’inscrivent dans le souvenir avant même de savoir à qui ou à quoi ils correspondent. Dans cette quête photographique menée entre 2018 et 2020, le fil conducteur est le nom de ces lieux marqués par l’Histoire : Munich, Dachau, Prora, Nuremberg, Prague, Terezin, la Tanière du Loup…”

Olivier Joly – Sagas – Hemeria

SAGAS est une échappée photographique dans une Islande millénaire. Pour ce voyage onirique, le noir & blanc s’est imposé. Il est le langage d’un temps immémorial, le seul à même de transmettre la force brute des émotions du photographe ; préface de François de Closets, photos en n.b.

Florence Joubert – Gardiens du temps – Editions de Juillet

“Gardiens du temps” questionne les évolutions de la science et la place de l’Homme dans la nature, à travers le quotidien des salariés et résidents permanents de la dernière station météorologique de montagne habitée en France : l’Observatoire du mont Aigoual. Il se trouve sur le toit des Cévennes. 

Gael Dupret – Tri Yann e “Kenavo”

Livre hommage à Tri Yann qui a clôturé sa tournée Kenavo le 9 septembre 2021 à Nantes, là où ils ont commencé il y a 52 ans. Pensé pour les fans, ce livre est pensé comme un vinyle par sa couverture réalisée comme une pochette de 45Tours ainsi que par ses dimensions de 17.8 x 17.8 cm. 

Les photographies sont en noir et blanc, signature de Gaël Dupret, l’auteur du livre. 

David Monceau – Tokyo Silence

Cet ouvrage est le fruit de 6 ans de travail entre Tokyo et Paris, plus de 80 000 photos, 2 ans de sélection, de post-production et d’édition du livre. Des milliers d’heures de marche, d’errance, de shooting, afin de capter l’essence de ce que je recherchais.

Jean-Pierre Duvergé – Ethiopie – Hemeria

« ETHIOPIA est une invitation à la découverte d’un pays et de ses peuples. J’ai fait moi-même ce chemin vers eux, porté par la volonté de les connaître, de les comprendre. Voici l’histoire du périple chronologique tel que je l’ai vécu, et tel que vous pouvez le vivre vous-même, avec ses temps forts.

Samedi 11 décembre – 17h

Fred Stucin – La source – Maison CF

Cette fiction photographique est le quatrième ouvrage du photographe Fred Stucin. Son décor est celui des abords de la Seine, qu’il remonte à la recherche de sa source, et ce sont ces paysages et ces rencontres qui portent sa narration photographique.
La romancière Marie NDiaye pose dans ce livre ses mots sur ces images.

Jean-François Spricigo – Oraison Sauvage – Le bec en l’air

Artiste échappant aux courants et aux modes, Jean-François Spricigo développe une œuvre personnelle où la photographie est en lien avec la littérature, le théâtre, la vidéo et la musique.

Dans Oraison sauvage, il met en récit son rapport intense à la nature, en particulier aux animaux sauvages. Source d’apaisement, ce rapport est fondé non sur une hiérarchie mais sur une interdépendance, et sur un équilibre retrouvé entre sens et intelligence, instinct et connaissance, honnêteté des émotions et détermination de la pensée.

Samedi 18 décembre – 15h

Nicolas Boyer – Giri Giri – Editions de Juillet

Giri Giri est un jeu de représentations sur les images véhiculées par le Japon à travers différents archétypes sociétaux. Une série de clichés sur les clichés de l’imaginaire « exotique » qui s’est construit depuis plus d’un siècle à la suite de l’ouverture de l’époque Meiji. On y croise un vieux yakuza qui se repent chaque jour en allant à la section évangélique locale, un joueur après un malaise dans une salle de jeu assourdissante de pachinko, ou encore les élèves d’un collège huppé de Kyoto pendant leur entraînement de kendo… Les images sont ponctuées de textes du photographe et d’Agathe Parmentier.

Alain Keler – America, Americas – Editions de Juillet

`En 1971, à seulement 26 ans, Alain Keler débarque aux États-Unis pour rejoindre son amour, une Américaine rencontrée lors d’un voyage en Asie. Une valise contenant ses photos sous le bras, il a en tête les images des grands : Cartier-Bresson, Winogrand, Weegee, Strand, Lewis Hine… 


Entre deux petits boulots, il photographie avec gourmandise sa ville d’adoption, fait une incursion à Washington lors de la seconde investiture de Richard Nixon, et se trouve au cœur des protestations et des célébrations. Son regard s’aiguise, se confronte à la rue, aux foules, à la vie quotidienne des New-Yorkais, à Coney Island, Manhattan ou Little Italy avec, déjà, la tendresse et l’empathie du regard qu’on lui connaît. 

Jean Michel Lenoir – Eléments

« Quand les lignes et les couleurs les plus épurées deviennent ELEMENTS “.Comme le miroir de mes émotions, Eléments est une immersion dans une vision rêvée de la nature, rythmée par ses changements d’états créateurs de lumières et d’ambiances tantôt sereines, tantôt dramatiques.
Des paisibles plages d’Ecosse aux couleurs pastels, aux envoûtants fjords de Scandinavie, partout où les éléments s’expriment, la beauté et la pureté offrent un nouveau visage à une nature transfigurée. Des instants éphémères de pleine conscience et d’humilité, où le temps semble suspendu à la force du moment présent. 

Adrien Selbert – Les bords réels – Le bec en l’air

La guerre de Bosnie s’est achevée il y a 25 ans et le pays semble plongé dans une léthargie où chacun erre dans son époque et dans ses croyances. Les morts et les vivants, les Bosniaques, les Serbes et les Croates, les vétérans du conflit et la jeunesse née dans ses décombres. La Bosnie ravive les vieux démons, joue avec le feu. Ce n’est plus la guerre, ce n’est pas la paix.
Comment traduire en photographie le sentiment étrange d’un temps qui n’en finit pas de mourir, la violence sourde qui traverse le pays ? Comment convoquer les fantômes qui se tiennent dans le fond des images ?

L’exposition propose une réflexion sur la notion de « territoires ». Qu’ils soient personnels, collectifs, imaginaires et régionaux, ces espaces matériels et immatériels conditionnent au moins en partie la représentation que l’on se fait du monde et la façon dont on le restitue. La photographie permet d’entrer en contact avec l’ailleurs, d’enregistrer les détails qui constituent l’espace qui nous entoure, d’en garder des traces et d’en faire des narrations.

Initial LABO, partenaire de l’exposition en “Reach the world”, nous sommes ravis de soutenir la sortie des deux livres d’artistes.

Un partage de la vision du monde

L’exposition propose une réflexion sur la notion de « territoires ». Qu’ils soient personnels, collectifs, imaginaires et régionaux, ces espaces matériels et immatériels conditionnent au moins en partie la représentation que l’on se fait du monde et la façon dont on le restitue. La photographie permet d’entrer en contact avec l’ailleurs, d’enregistrer les détails qui constituent l’espace qui nous entoure, d’en garder des traces et d’en faire des narrations.

L’exposition est composée d’un cheminement en trois parties. Les Hommes habitent un territoire, sur lequel ils créent et entretiennent un principe de fonctionnement en société.

Une première séquence présente des portraits et autoportraits qui aborde les notions d’identités personnelle et collective mais aussi l’identité face à l’exile et face aux mutations terrtoriales. Comment se construit l’identité ?

La seconde séquence s’intéresse au territoire, aux procédés photographiques employés pour le représenté. Les artistes s’intéressent à son évolution et questionnent la notion de paysage. Qu’est ce qui fait paysage ? Le territoire est aussi abordé au regard du concept foulcadien des hétérotropies.

Enfin, la dernière partie expose des contenus photographiques engagent le principe de “faire société”. Il y a t-il des paradoxes, des récurrences, des prédominances dans les représentations ?

L’Exposition “Reach the world”, un soutien aux artistes iraniens


La photographie iranienne connaît un élan de dynamisme depuis l’aube du XXI ème siècle qui ne peut échapper à l’Histoire de l’art. Valorisée à travers le monde au cours de ces dernières années, elle a ses chefs de file et ses artistes émergents qui multiplient les techniques d’expression. Ingéniosité, subtilité et créativité sont les mots d’ordre d’une nouvelle génération qui trouve dans l’image fixe, toutes les potentialités de leur expressivité : reconstitution, association, superposition, mise en scène. Cette exposition est l’aboutissement de cinq années de recherches universitaires, étudiant les récurrences thématiques, en mettant en évidence l’unicité de chacun des langages photographiques.

REACH THE WORLD porte une dimension caritative : une partie des œuvres photographiques pourront être acquises pour permettre de soutenir les carrière artistiques. Une partie sera reversée à l’Association Badguir, qui valorise et accompagne les artistes iraniens dans l’exposition et la diffusion de leurs œuvres.

Cette exposition présente des artistes qui pour certains n’ont encore jamais été exposé en France, et pour d’autres, qui ont été exposés à l’occasion de différents évènements : Iran Unedited au Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris en 2014, Les Rencontres de la Photographie d’Arles en 2018 notamment. “Reach the world” s’intéresse à la pratique photographique contemporaine en combinant plusieurs axes de réflexion : la diversité des techniques employées et les différentes échelles d’observation du territoire.Ses multiples échelles d’observation et les sources d’inspiration que chacune représente, sont explorées à travers des regards contemporains et ambitieux. Il ne s’agit pas seulement de représenter mais de questionner le visible, de l’interpréter pour lui donner sens, de l’archiver, ou d’en faire ressortir une narration à la manière des Haïkus.

Pérenniser une exposition par le livre

Le livre a une place importante dans l’exposition : deux livres d’artistes, Dialogue de Payram et Parias de Yegan Mazandarani sont exposés pour être parcouru et partager les voyages des deux artistes, chacun sur des territoires différents. Pérenniser une exposition par le livre est un enjeu central pour la construction de l’histoire de l’art, du cheminement des oeuvres et du rapport entre texte-oeuvre. Le catalogue de cette exposition rassemble les photographies imprimées et exposées depuis la première édition et accompagne ses images de textes écrits par les artistes sur leur travail, de leur biographie et de textes de plusieurs historiens de l’art.

Soutenez et précommandez les deux livres en cliquant sur ce lien : Reach the World / S’adresser au Monde – Ulule

Samin Ahmadzadeh, Landscapes
Shirin Ghader, Dizin, 2021
"La vie des autres" est un récit visuel personnel, esthétique et poétique qui raconte la synergie entre l'homme et les éléments, de l'Australie au Japon, en passant par les États-Unis et la France.

Découvrez le premier livre photographique ” La vie des autres” de Fabien Voileau.

Le photographe Fabien Voileau

Né en 1984. Basé à Paris. Fabien est un photographe français. Son travail dépeint un amour des grands espaces ainsi qu’une passion pour les portraits intimes. Élevé près de la côte, à Nantes, Fabien a gardé un lien profond avec l’océan, ce qui l’amène à travailler fréquemment en Australie, en Californie et dans le Pays Basque.

Il a toujours eu à cœur de travailler ses photos de manière à raconter des histoires fortes. Il passe beaucoup de temps à s’immerger dans la vie de ceux qui lui ouvrent leur porte. Qu’ils soient surfers, cowboys, écoliers ou simples passants, il essaie de capturer la jeunesse et le mouvement qui les animent.

Fabien est également membre de la communauté Patagonia «Change Makers». Son travail a été exposé à Paris et Tokyo, et il a travaillé en collaboration avec des clients qui comptent parmi les plus prestigieux, tout en faisant preuve de diversité : Burberry, Oris, Vice, Peugeot, Quicksilver, Le Monde, Ruinart, Air France Madame, Nike, Samsung, Talisker…

“La vie des autres” le premier livre de Fabien Voileau

“La vie des autres” est un récit visuel personnel, esthétique et poétique qui raconte la synergie entre l’homme et les éléments, de l’Australie au Japon, en passant par les États-Unis et la France.

Durant 5 années de travail Fabien Voileau à mis en lumière deux milieux chargés d’oppositions : l’océan et les mégalopoles.

Dans ce livre, il vient associer la photographie de rue et la photographie de surf mélangeant reportage et sport.

Initial LABO soutient Fabien Voileau pour la sortie de son nouveau livre.

Précommandez votre livre et participez à la soirée de lancement qui aura lieu en décembre à Paris !

Cliquez ici : https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/la-vie-des-autres-livre-photo-fabien-voileau/preview

Planète Initial, une expérience photographique inédite

La première édition de Planète Initial a marqué une nouvelle étape pour Initial LABO. 

Durant quatre jours d’exception, nous avons été ravis d’accueillir amateurs et professionnels de la photo au sein du mythique Point de vue de Deauville pour le Festival Planches Contact. Initial LABO a proposé un week-end riche en photographie rythmé par de nombreuses activités photographiques animées par nos partenaires et photographes tels que des rencontres et signatures, des tables rondes et conférences, la découverte du tirage avec le savoir faire de nos tireurs Yonnel et Aurélie…

Planète Initial à été un réel lieu d’échange, une expérience exclusive, immersive et convivial.

Une expérience ouverte à tous

Cet événement à également été ouvert à tous les Deauvillais leur permettant de se retrouver au plein cœur d’un lieu dédié à la photographie et leur permettant de découvrir pleinement cet univers sous tous les angles. Ils ont pu avec curiosité découvrir les techniques d’impression, écouter les podcasts témoignant des talents de nos photographes mais également se faire plaisir en gardant avec eux un souvenir de notre passage à Deauville. Ils ont pu se procurer au sein de notre librairie éphémère un article parmi notre plus belle sélection de livres photographiques, tirages Matted Pictures ainsi que d’équipements photographiques.

Ils ont également été invité à participer aux ateliers photographiques tel que la Fresque évolutive conçue par Cédric Jouvin alias ‘Unknown Project” réalisée grâce à l’appareil instantané Instax Wide et à l’imprimante Instax Link Wide.

Un Week-end inaugural rythmé par de nombreuses activités photographiques

Vendredi les photographes ont pu découvrir, échanger et partager leur expérience autour de la création d’un projet photographique avec les fondateurs de la revue EPIC mais également de la création d’un livre photo avec John Briens, conseiller technique et commercial à l’imprimerie Escourbiac ainsi que Julie Plus, fondatrice de Wipplay.

Les papiers d’art numériques Hahnemühle ont également été mis à l’honneur.

Chaque jour, de nombreux photographes ont été présents durant les rencontres et signatures afin de témoigner sur leur livre photographique.

Et enfin durant tout le week-end amateurs comme professionnels ont pu déambuler dans le ville de Deauville afin de participer à des photo walk Leica accompagé de OJOZ, Fabien Voileau ainsi que de François Joret.

Samedi des tables rondes ont été organisées au sujet du magazine photo Open Eye et la maison d’édition Héméria avec Brigitte Trichet. Des lectures de portefolio par Glaucia Nogueira, fondatrice de Iande ont également eu lieu.

Une conférence sur les NFT à également été organisée avec Jean-Michel Pailhon, vice président chez Ledger (leader mondial de la sécurité des crypto-actifs).

Dimanche nos partenaires LIKE et BATT COOP ont animé des tables rondes et conférences au sujet de la création du magazine LIKE ainsi que la création des archives Yan Morvan présentée par Manuel Morin et Yan Morvan.

Enfin, lors du dernier jour de Planète Initial ce sont les Editons Pierres Bessard qui ont proposé une rencontre avec les photographes ayant récemment publié leur livre photographique dont Camille Brasselet et Stephano De Luigi.

Nous remercions tous les partenaires qui nous ont accompagné et proposé des activités photographiques tout au long du week-end inaugural du festival Planches Contact.

Un grand merci aux photographes, tireurs, éditeurs, magazines photos, fabricants de papier photo, fabricant d’imprimantes, constructeurs d’appareils photos…

Retrouvez l’épisode exclusif de notre podcast Mandarine, dédié à la Planète Initial.

Faire vivre, pendant les quatre jours du week-end inaugural du festival, le concept Initial LABO. Dans un lieu mythique de Deauville, amateurs et experts de la photo pourront découvrir l’univers du labo. Ainsi seront réunies les forces vives du monde de la photographie : 

PHOTOGRAPHES – TIREURS – EDITEURS – MAGAZINES PHOTO – PODCASTEURS – FABRICANTS DE PAPIER PHOTO – FABRICANT D’IMPRIMANTES – CONSTRUCTEUR D’APPAREILS PHOTO…

 – Un laboratoire d’excellence piloté par Yonnel Leblanc et Aurélie Guillou. Pour la première fois vous aurez un accès libre et direct aux tireurs qui sont à l’origine des tirages que vous voyez au sein des expositions. Réglages chromatiques, choix des papiers, réglages des machines, vous pourrez tout comprendre du lien primordial entre le photographe et le tireur. 

– Une librairie exigeante, dédiée uniquement à la photographie, animée par une équipe passionnée qui vous fera découvrir les livres des photographes proches du labo ainsi qu’une sélection de nouveautés. Le tout animé par des conversations et signatures de photographes tout au long du week-end.

Une boutique multiple, présentant une sélection de produits  liés à la photographie, albums photos, appareils instantanés, bijoux… 

– Des animations photographiques pour tous les publics, conférences, rencontres, photo-walk, atelier créatif rythmeront la Planète Initial.

Planète Initial – Le Point de vue – 7, boulevard de la mer Deauville – ouvert au public de 10h30 à 18h30

Retrouvez également le programme du week end inaugural de Planches Contact.

Programme du vendredi 29 octobre

10h30 – 12h30 : Revue EPIC

Table ronde sur le développement d’un projet photographique, des préparatifs jusqu’à la publication.

Avec Jean-Matthieu GAUTIER et Ambroise TOUVET.

Revue EPIC : la photo documentaire qui s’affranchit de l’actu

Cette nouvelle revue trimestrielle photo, lancée par Jean-Matthieu Gautier et Ambroise Touvet, souhaite raconter le monde en images en prenant son temps. Son format ? 4 reportages photo de 30 pages chacun, mêlant images, conversation avec l’auteur et infographies pour mieux décrypter le sujet. La revue s’inscrit dans cette nouvelle tendance journalistique à l’opposé de cette urgence médiatique à ne traiter que les derniers sujets d’actualité.

Revue EPIC compte dans son comité éditorial Simon Danger (Ancien directeur photo de Ebdo et La Vie), Wilfrid Esteve (Photographe, directeur du Studio Hans Lucas), Corentin Fohlen (Photographe et portraitiste), Agathe Kalfas (Consultante en photographie et dénicheuse de talent), Cloé Kerhoas Ozmen (Consultante en photographie et éditrice photo), Maxime Riché (Photographe, spécialiste des questions environnementales) et Cédric Roux (Photographe de rue)

14h00 – 15h30 : Hahnemühle

Présentation et utilisation des papiers d’art numériques Hahnemühle

Avec Julien LAGAYE

Aujourd’hui Hahnemühle fabrique des papiers Beaux-arts traditionnels, des papiers pour l’impression numérique ainsi que des papiers techniques pour la recherche et l’industrie.

Tous ces papiers sont fabriqués selon d’anciennes recettes à partir de fibres de coton, de cellulose ou de fibres végétales et d’eau de source pure. En tant qu’inventeur et leader du marché mondial, Hahnemühle affine en permanence ses véritables papiers d’artistes en papier pour l’impression numérique.

Dialogue avec nos tireurs Yonnel Leblanc et Aurélie Guillou

14h00 – 15h30 : Photowalk avec Fabien Voileau et OJOZ

Nombre limité : Inscriptions gilles@initiallabo.com

Ballade photographique dans les rues de Deauville accompagné de deux photographes professionnels, dialogue autours du tirage photographique.

Découvrez les rues de Deauville avec deux photographes aux univers différents mais qui se rassemblent sur leur passion pour la photographie et des belles images.

OJOZ : Photographe autodidacte, Ojoz est un peu tombé dans la photo par hasard, simplement parce que c’était dommage que personne ne capture les précieux instants de sa bande de potes skateurs ! Tant mieux, parce que celui qui se qualifie de “chasseur d’images” a aujourd’hui un bel avenir devant lui.

Fabien Voileau : Amoureux de la beauté des grands espaces, mais également de l’intime que recèle les portraits, son univers, à la croisé des genres, se cristallise dans les jeux d’oppositions qu’il laisse transparaître à travers ses photos.

15h00 – 16h00 Signature de livres

Maryam Ashrafi – S’élever au milieu des ruines, danser entre les balles – Hemeria

Patrick Braoudé – Deauville – Ramsey

Olivier Joly – Saga – Hemeria

Alain Keler – Un voyage en hivers – Editions de Juillet (sous réserve)

Maxime Riché – Climate Heroes – Hemeria

Caroline Riegel – Semeuses de joie – Hemeria

Lee Shulman (Anonymous Project) – Déjà View – Textuel

16h00 – 17h30 : Escourbiac, l’imprimeur

La création d’un livre photo, table ronde avec John Briens, conseiller technique et commercial à l’imprimerie Escourbiac, Fabien Voileau à l’occasion de la publication de son premier livre, Julie Plus, créatrice de Wipplay et la Revue Epic au sujet du concours “éditer son regard, organisé conjointement par Wipplay et Escourbiac.

Escourbiac l’imprimeur accompagne la réalisation des livres depuis la définition de ses caractéristiques… jusqu’à sa mise en avant sur ce site ou sa plateforme achevedimprimer.com. Avant, il a pris soin de les photographier, détourer, écrire un descriptif avec un lien vers le site de l’auteur.

Fabien Voileau est un photographe français. son travail reflète le désir d’évasion des jeunes du monde entier.

La planète Initial

HEMERIA : Maison d’édition fondée en 2018, accompagne sous forme de partenariats les photographes dans leurs projets d’auto-édition

Toute la journée, Brigitte Trichet, co-fondatrice de la maison d’édition sera accompagnée des photographes Maryam Ashrafi, Patricia Canino, André Carrara, Olivier Joly et Caroline Riegel qui présentent leurs derniers livres.

OPEN EYE, le regard d’aujourd’hui sur la photographie : OPENEYE,le regard d’aujourd’hui sur la photographie est un webmagazine interactif : beaucoup de liens permettent d’enrichir les articles, des vidéos les font vivre. Rencontrez Eric Dubois-Geoffroy, responsable galeries et WebTV, webmaster.

Le labo Initial LABO : Retrouvez l’ambiance du labo autours des photographes Cyril Bailleul, Charlotte Bovy, Patrick Braoudé, Patricia Canino, Alexandre Faraci, Alain Keler, Jean-Daniel Lorieux, Clarisse Rebotier et Anais Tondeur qui tout au long de la journée dialogueront avec vous autours du tirage photographique.

Programme du Samedi 30 octobre

Toute la journée Unknown Project et INSTAX

Cédric Jouvin, alias Unkniwn Project vous présente durant toute la journée une fresque évolutive représentant des paysages symboles de la région. Ce travail interactif se fera avec la participation du public et sera l’occasion de découvrir l’instax Wide et la nouvelle imprimante Instax Link Wide

A la fin de la journée une imprimante Instax Link Wide à gagner par tirage au sort !

10h30 – 11h30 OPEN EYE, le regard d’aujourd’hui sur la photographie

OPEN EYE, 4 ans de photographie émergente. avec la présence de Eric Dubois-Geoffroy, responsable galeries et WebTV, webmaster.

OPENEYE,le regard d’aujourd’hui sur la photographie est un webmagazine interactif : beaucoup de liens permettent d’enrichir les articles, des vidéos les font vivre

12h00 – 13h00 HEMERIA

Table ronde avec Brigitte Trichet, co-fondatrice de la maison d’édition accompagnée des photographes Maryam Ashrafi, Patricia Canino, André Carrara, Olivier Joly et Caroline Riegel qui parleront de la réalisation de leurs différents projets photographiques.

Maison d’édition fondée en 2018, accompagne sous forme de partenariats les photographes dans leurs projets d’auto-édition

13h 00 – 14h30 : Photowalk avec Fabien Voileau et OJOZ

Nombre limité : Inscriptions gilles@initiallabo.com

Ballade photographique dans les rues de Deauville accompagné de deux photographes professionnels, dialogue autours du tirage photographique.

Découvrez les rues de Deauville avec deux photographes aux univers différents mais qui se rassemblent sur leur passion pour la photographie et des belles images.

OJOZ : Photographe autodidacte, Ojoz est un peu tombé dans la photo par hasard, simplement parce que c’était dommage que personne ne capture les précieux instants de sa bande de potes skateurs ! Tant mieux, parce que celui qui se qualifie de “chasseur d’images” a aujourd’hui un bel avenir devant lui.

Fabien Voileau : Amoureux de la beauté des grands espaces, mais également de l’intime que recèle les portraits, son univers, à la croisé des genres, se cristallise dans les jeux d’oppositions qu’il laisse transparaître à travers ses photos.

A partir de 14h Signatures

Rencontres autours des livres de nombreux photographes dont :

Maryam Ashrafi – S’élever au milieu des ruines, danser entre les balles – Hemeria

François Darmigny – Wheel & Waves – Noéve

Olivier Joly – Saga – Hemeria

Yan Morvan – Archives – Batt Coop

Alain Keler – Un voyage en hivers – Editions de juillet

Caroline Riegel – Semeuses de joie – Hemeria

14h30 – 15h30 Conférence NFT

Présentation des NFT par Jean-Michel Pailhon, vice président chez Ledger (leader mondial de la sécurité des crypto-actifs), collectionneur street art depuis 2005, associé dans une galerie d’art en ligne et à Paris (achetezdelart.com). Collectionneur de NFTs depuis 2019.

La planète Initial

BATT COOP : Implantée rue Doudeauville, au cœur du quartier de la Goutte d’Or à Paris, elle dispose d’un espace de 100m2 dédié à la collecte, la production et le catalogage de ces ouvrages le plus souvent à caractère confidentiel, sans limite de genre ou de sujet.

Découvrez pour l’occasion la collection des Archives Yan Morvan projet pionnier dans le monde de l’édition, Yan Morvan et Manuel Morin seront présents pour vous présente les premiers numéros de cette collection.

EDITIONS PIERRE BESSARD : Pierre Bessard a déjà vécu plusieurs vies, entre la France, la Chine et la Corée, il fut reporter-photographe à l’AFP, chef du service photo du picture magazine VSD, réalisateur de documentaires (CAPA/ARTE), photojournaliste pour l’agence de presse REA, lauréat de nombreux prix, bourses, aides à la création (Villa Médicis hors les murs…).

HEMERIA : Maison d’édition fondée en 2018, accompagne sous forme de partenariats les photographes dans leurs projets d’auto-édition

Toute la journée, Brigitte Trichet, co-fondatrice de la maison d’édition sera accompagnée des photographes Maryam Ashrafi, Patricia Canino, André Carrara, Olivier Joly et Caroline Riegel qui présentent leurs derniers livres.

IANDE : Lectures de portfolios par Glaucia Nogueira

Iandê est une plateforme culturelle internationale ciblé sur la France, en vue de communiquer sur la photographie brésilienne. Notre mission est de créer des initiatives visant à augmenter la présence de la photographie brésilienne en France et de décoder les actualités de la photographie française pour les brésiliens.

LIKE, la revue : LIKE la revue donne la parole aux photographes et à celles et ceux qui accompagnent, soutiennent et pensent la photographie. Et bien sûr nous publions beaucoup d’images. Pour ce numéro d’automne nous avons choisi les photographes qui seront présents dans les grands événements de la rentrée et notre grande sélection de livres qui feront l’actualité ! Jean-Jacques Farre, fondateur de la revue sera présent pour partager sur la création de LIKE

OPEN EYE, le regard d’aujourd’hui sur la photographie : OPENEYE,le regard d’aujourd’hui sur la photographie est un webmagazine interactif : beaucoup de liens permettent d’enrichir les articles, des vidéos les font vivre. Rencontrez Eric Dubois-Geoffroy, responsable galeries et WebTV, webmaster.

Le labo Initial LABO : Retrouvez l’ambiance du labo autours des photographes Patricia Canino, Véronique Fel, Alizé le Maoult, Jean-Daniel Lorieux, Clarisse Rebotier et Anais Tondeur qui tout au long de la journée dialogueront avec vous autours du tirage photographique.

Programme du dimanche 31 octobre

10h30 – 11h30 LIKE, la revue

Pourquoi créer une revue photographique en 2020 ?

Jean-Jacques Farre, fondateur de la revue sera présent pour partager sur la création de LIKE

LIKE la revue donne la parole aux photographes et à celles et ceux qui accompagnent, soutiennent et pensent la photographie. Et bien sûr nous publions beaucoup d’images. Pour ce numéro d’automne nous avons choisi les photographes qui seront présents dans les grands événements de la rentrée et notre grande sélection de livres qui feront l’actualité !

11h30 – 12h30 BATT COOP

La création des Archives Yan Morvan, 5 années de parution bi-mensuelles en présence de Yan Morvan et Manuel Morin.

Implantée rue Doudeauville, au cœur du quartier de la Goutte d’Or à Paris, elle dispose d’un espace de 100m2 dédié à la collecte, la production et le catalogage de ces ouvrages le plus souvent à caractère confidentiel, sans limite de genre ou de sujet.

Découvrez pour l’occasion la collection des Archives Yan Morvan projet pionnier dans le monde de l’édition.

14h30 – 15h30 Conférence NFT

Présentation des NFT par Jean-Michel Pailhon, vice président chez Ledger (leader mondial de la sécurité des crypto-actifs), collectionneur street art depuis 2005, associé dans une galerie d’art en ligne et à Paris (achetezdelart.com). Collectionneur de NFTs depuis 2019.

15h30 – 16h30 LEICA

Pourquoi photographier avec un appareil photo Leica en 2021 ?

Table ronde avec les photographes Francois Joret, OJOZ et Yan Morvan et Vincent Mayes, représentant Leica France.

Echange entre deux photographes ayant une vision photographique différente mais utilisant les mêmes boitiers photographiques.

Possibilité d’essayer du matériel Leica

A partir de 16 h : Signatures

Rencontres autours de nombreux photographes dont :

Jean-Michel André – Borders

Rodolphe Barsikian – Catalogue

Carline Bourdelas & Diana Lui – Punctum

Eric Bouvet – Journal

Tina Bloch – Archisable (14h00 – 16h00)

André Carrara – Regards

François Darmigny – Wheels & Waves

Stephan Gladieu – Corée du Nord

Alain Keler – Un voyage en hivers 

Yan Morvan – Archives 

Noel Quidu – Et dieu créa la guerre

15h30 CYRIL BAILLEUL

Présentation par le photographe Cyril Bailleul de son projet “Sur les traces de Bill Pickett” présenté au château de Thury Harcourt dans le cadre des Equidays 2021

C’est en 2012, tout à fait par hasard, que le photographe a découvert les cowboys et cowgirls afro-américains et le Bill Pickett Rodeo à Atlanta. Au XIXème siècle, plus d’un quart des cowboys étaient descendants d’africains. Né en 1870, Bill Pickett est un légendaire cowboy de Taylor (Texas) descendant d’africains et d’indiens Cherokee.

La planète Initial

BATT COOP : Implantée rue Doudeauville, au cœur du quartier de la Goutte d’Or à Paris, elle dispose d’un espace de 100m2 dédié à la collecte, la production et le catalogage de ces ouvrages le plus souvent à caractère confidentiel, sans limite de genre ou de sujet.

Découvrez pour l’occasion la collection des Archives Yan Morvan projet pionnier dans le monde de l’édition, Yan Morvan et Manuel Morin seront présents pour vous présente les premiers numéros de cette collection.

EDITIONS PIERRE BESSARD : Pierre Bessard a déjà vécu plusieurs vies, entre la France, la Chine et la Corée, il fut reporter-photographe à l’AFP, chef du service photo du picture magazine VSD, réalisateur de documentaires (CAPA/ARTE), photojournaliste pour l’agence de presse REA, lauréat de nombreux prix, bourses, aides à la création (Villa Médicis hors les murs…).

LIKE, la revue : LIKE la revue donne la parole aux photographes et à celles et ceux qui accompagnent, soutiennent et pensent la photographie. Et bien sûr nous publions beaucoup d’images. Pour ce numéro d’automne nous avons choisi les photographes qui seront présents dans les grands événements de la rentrée et notre grande sélection de livres qui feront l’actualité ! Jean-Jacques Farre, fondateur de la revue sera présent pour partager sur la création de LIKE

OPEN EYE, le regard d’aujourd’hui sur la photographie : OPENEYE,le regard d’aujourd’hui sur la photographie est un webmagazine interactif : beaucoup de liens permettent d’enrichir les articles, des vidéos les font vivre. Rencontrez Eric Dubois-Geoffroy, responsable galeries et WebTV, webmaster.

Le labo Initial LABO : Retrouvez l’ambiance du labo autours des photographes Rodolphe Barsikian (artiste), Véronique Fel, Alizé le Maoult, Jérémy Lempin, Jean-Daniel Lorieux, Noel Quidu, Jérome Sainte-Rose qui tout au long de la journée dialogueront avec vous autours du tirage photographique.

Programme du lundi 01 novembre

10h 30 – 11h30 EDITIONS BESSARD

Rencontre avec les artistes publiés récemment par Pierre Bessard, dont Camille Brasselet et Stefano de Luigi

Pierre Bessard a déjà vécu plusieurs vies, entre la France, la Chine et la Corée, il fut reporter-photographe à l’AFP, chef du service photo du picture magazine VSD, réalisateur de documentaires (CAPA/ARTE), photojournaliste pour l’agence de presse REA, lauréat de nombreux prix, bourses, aides à la création (Villa Médicis hors les murs…).

14h30 – 16h00 LEICA

Nombre limité : Inscriptions gilles@initiallabo.com

Ballade photographique dans les rues de Deauville accompagné d’un photographe professionnel, dialogue autours du tirage photographique.

A partir de 14h Signatures

Rencontres autours de nombreux photographes dont :

Jean-Michel André – Borders

Rodolphe Barsikian – Digital life

Carline Bourdelas & Diana Lui – Punctum

Eric Bouvet – Journal

François Darmigny – Wheels & Waves

Stephan Gladieu – Corée du Nord

Letizia le Fur – Mythologie – Rue du bouquet

Yan Morvan – Archives 

Noel Quidu – Et dieu créa la guerre

14h30 – 15h30 Conférence NFT

Présentation des NFT par Jean-Michel Pailhon, vice président chez Ledger (leader mondial de la sécurité des crypto-actifs), collectionneur street art depuis 2005, associé dans une galerie d’art en ligne et à Paris (achetezdelart.com). Collectionneur de NFTs depuis 2019.

La planète Initial

BATT COOP : Implantée rue Doudeauville, au cœur du quartier de la Goutte d’Or à Paris, elle dispose d’un espace de 100m2 dédié à la collecte, la production et le catalogage de ces ouvrages le plus souvent à caractère confidentiel, sans limite de genre ou de sujet.

Découvrez pour l’occasion la collection des Archives Yan Morvan projet pionnier dans le monde de l’édition, Yan Morvan et Manuel Morin seront présents pour vous présente les premiers numéros de cette collection.

EDITIONS PIERRE BESSARD : Pierre Bessard a déjà vécu plusieurs vies, entre la France, la Chine et la Corée, il fut reporter-photographe à l’AFP, chef du service photo du picture magazine VSD, réalisateur de documentaires (CAPA/ARTE), photojournaliste pour l’agence de presse REA, lauréat de nombreux prix, bourses, aides à la création (Villa Médicis hors les murs…).

LIKE, la revue : LIKE la revue donne la parole aux photographes et à celles et ceux qui accompagnent, soutiennent et pensent la photographie. Et bien sûr nous publions beaucoup d’images. Pour ce numéro d’automne nous avons choisi les photographes qui seront présents dans les grands événements de la rentrée et notre grande sélection de livres qui feront l’actualité ! Jean-Jacques Farre, fondateur de la revue sera présent pour partager sur la création de LIKE

OPEN EYE, le regard d’aujourd’hui sur la photographie : OPENEYE,le regard d’aujourd’hui sur la photographie est un webmagazine interactif : beaucoup de liens permettent d’enrichir les articles, des vidéos les font vivre. Rencontrez Eric Dubois-Geoffroy, responsable galeries et WebTV, webmaster.

Le labo Initial LABO : Retrouvez l’ambiance du labo autours des photographes Claude Azoulay, Rodolphe Barsikian (artiste), Véronique Fel, Alizé le Maoult, Jérémy Lempin, Jean-Daniel Lorieux, Noel Quidu, Jérome Sainte-Rose qui toutou long de la journée dialogueront avec vous autours du tirage photographique.

anie Wenger, photographe documentaire à été sélectionnée pour exposer son travail "Sugar Moon" à l'occasion de la 33ème édition du Festival Visa pour l'image. Ce projet, qui à nécessité quatre années de travail, sera exposé pour la première fois. Une nouvelle étape que nous avons eu le plaisir de partager avec elle, les tireurs Yonnel Leblanc et Aurélie Guillou, étant en charge de donner vie à cette exposition.

Le Festival de photographie de Paranapiacaba (FF Paranapiacaba) est une plateforme d’alphabétisation visuelle prônant la préservation des équilibres naturels, les droits de l’homme et l’accès à l’éducation, Il aborde des questions pertinentes sur la durabilité, la mémoire et le patrimoine. Emmanuelle Hascöet, membre du jury a acceptée de répondre à nos questions dans le cadre de l’exposition “Les Territories de l’eau” chez Initial LABO

Cette quatrième édition du Festival est consacrée à l’eau, élément essentiel à la survie de tous les organismes.

Initial LABO et IANDE s’unissent à cette occasion pour vous faire découvrir le Festival de Paranapiacaba et permettre à des photographes brésiliens d’exposer leur travail en France.

IANDE est une plateforme culturelle interna4onale ciblé sur la France, en vue de communiquer sur la photographie brésilienne. Iandé, qui signifie Nous est un trait d’union entre le Brésil et la France, pour les photographes, les commissaires, les galeristes, les collectionneurs, l’enseignement, la recherche et les institutions liées à la photographie.

Initial LABO de par son attachement continue à la photographie brésilienne, que se soit au niveau du Mécénat auprès de la Bibliothèque Nationale de France, de son soutien à l’association SOS Assistances de Fotografia venant en aide aux assistant de photographes touchés par la pandémie ou bien par la riche sélection de livres brésiliens présents dans notre librairie.

Suite à l’appel à candidature lancé cet été, plus de 500 candidatures ont été reçus. Le jury composée de Denise Carmargo, Héloïse Conesa, Emmanuelle Hascoët, Joao Kulcsár et Glaucia Nogeira ont choisis cinq lauréats qui seront exposés chez Initial LABO du 23 septembre au 10 octobre 2021.

Pour l’occasion nous avons échangé avec Sheila Oliveira, Pour l’occasion nous avons échangé avec Marilène Ribiero, lauréat de l’appel à candidature avec sa série “Dear water” afin de mieux connaitre son écriture photographique, les thématiques qu’il travaille et l’impact de la pandémie sur son inspiration. Découvrez cet échange en intégralité suivis d’une présentation de sa série.

Après des études de photographie à Paris en 1988, Sheila Oliveira se spécialise dans le photojournalisme à São Paulo, à l’Escola Focus, puis au sein de l’Agence France Presse, et du journal Folha de São Paulo.
En 2005, elle remporte le Prix Chico Albuquerque Photographie, du Secrétariat d’État à la Culture du Ceará avec son premier livre Carnaúba “l’arbre qui gratte”, Editora Tempo D’imagem. Son deuxième ouvrage, “Redes de Dormir”, publié en 2012, remporte le prix de l’avis public das Artes da Secultfor.

Témoigner de la sècheresse au Ceara

Cette série a été produite dans l’année 2017 à l’intérieur du Ceará qui montre la la question du séminariste et les difficultés rencontrées par le manque de pluie et le drame de la vie réelle des gens de souche

L’essai Cours d’Eaux – Histoires de convivence avec la sécheresse au Ceará (2017), raconte des histoires de vie avec la sécheresse au Ceará et montre des politiques publiques efficaces sur le combat de la sécheresse. L’oeuvre montre le
parcours de résistance des habitants du Ceará au sein de cette région semi-aride. Cette série a été développée dans l’état du Ceará avec objectif de dépeindre la gestion et la convivialité du sertanejo avec l’eau. Le projet a été développé par une équipe de chercheurs et de producteurs. Quelques photos sur ce thème ont été publiées dans le livre “Le chemin de l’eau” par le gouvernement de l’État du Ceará en 2017.

Les conséquences de la covid 19

Pendant la période de détention, j’ai développé quelques essais photographiques à l’intérieur de ma maison.

Oui, et beaucoup! Le changement nous a tous frappés et je crois que ce changement est venu à rester.

Exposition FF Paranapiacaba chez Initial LABO

LES TERRITOIRES DE L’EAU 

Raphael Alves – Marcio Borsoi – Nilmar Lage –  Mergulha et Voa – Sheila Oliveira – Elza Lima – Julia Pontes – Marinele Ribeiro 

DU 23/09 AU 10/10 

Une célébration de la photographie aux confluents de la préservation des équilibres et des territoires créatifs.

Emmanuelle Hascöet, membre du jury de l'appel à candidatures de l'exposition "Les Territoires de l'eau"

Une expérience inédite au cœur du Festival Planche Contact – Deauville

Découvrez Planète Initial du 29/10 au 01/11 au Point de Vue – Deauville

Le Festival Planche Contact, un véritable laboratoire d’observation du territoire par l’image

Planches Contact s’est positionné depuis sa création en 2010, comme l’un des rares festivals dont la production est fondée sur le principe de la commande publique ; au fil des années il est devenu un véritable laboratoire d’observation du territoire par l’image.

L’engagement et le soutien sans failles de la mairie et des partenaires habituels, ainsi que l’arrivée de nouveaux importants partenaires, ont permis au festival de maintenir son rendez-vous en octobre; de développer actions pédagogiques et sociales et de continuer à « voir plus grand », en investissant des nouveaux
lieux avec des nouvelles structures de grandes dimensions.

Photo : Pierre Elie de Pibrac

Initial LABO grand partenaire du Festival photographique de Deauville

Initial LABO, avec un savoir-faire technique et une qualité de réalisations de haut niveau, devient cette année un des principaux partenaires privés de Planches Contact, dans la production et l’installation des expositions.

Le festival s’entoure avec joie, grâce à ce nouveau partenariat, d’une équipe exigeante travaillant toujours en adéquation avec le travail des photographes Initial LABO est en charge de la production et de l’installation de
la quasi-totalité des expositions présentées durant le festival.

La Planète Initiale LABO, l’événement incontournable du Week-end inaugurale

Cette année Initial LABO vous donne rendez-vous pour un événement inédit : La Planète Initial LABO, un événement pour vivre pleinement le concept Initial LABO !

PHOTOGRAPHES, TIREURS, EDITEURS, MAGAZINES PHOTOS, PODCASTEURS, FABRICANTS DE PAPIER PHOTO FABRICANT D’IMPRIMANTES, CONSTRUCTEUR D’APPAREILS PHOTO…

Durant 4 jours toute l’équipe Initial LABO ainsi que ses plus grands partenaires déménagent à Deauville et seront ravis de vous accueillir au sein du mythique ancien club-house du Deauville Yacht Club que présidait Louis Breguet, Le Point de vue de Deauville !

Découvrez l’univers de notre labo à travers des activités photographiques exclusives !

  • Un laboratoire d’excellence piloté par Yonnel Leblanc et Aurélie Guillou. Pour la première fois vous aurez un accès libre et direct aux tireurs qui sont à l’origine des tirages que vous voyez au sein des expositions. Réglages chromatiques, choix des papiers, réglages des machines, vous pourrez tout comprendre du lien primordial entre le photographe et le tireur.
  • Une librairie exigeante, dédiée uniquement à la photographie, animée par une équipe passionnée qui vous fera découvrir les livres des photographes proches du labo ainsi qu’une sélection de nouveautés. Le tout animé par des conversations et signatures de photographes tout au long du week-end.
  • Une boutique multiple, présentant une sélection de produits, liés à la photographie, albums photos, appareils instantanés, bijoux…
  • Des animations photographiques pour tous les publics, conférences, rencontres, photo-walk, atelier créatif rythmerons la Planète Initial.

Initial LABO partenaire de Photodays, découvrez l’exposition “Hors les murs de Planches Contact – Deauville”

Dans le cadre du parcours Photodays, dont Initial LABO est partenaire, nous avons le plaisir de vous proposer l’exposition “Hors les murs de Planches Contact – Deauville”

Caimi & Piccini, Pierre Elie de Pibrac, Costanza Gastaldi, FLORE.

Du 26/10 au 27/11 

Vernissage les 4, 5, 6 novembre 2021


Quatre artistes de la fondation photo4food exposent un travail photographique inédit, produit en résidence pour le festival et sélectionné par Laura Serani, sa directrice artistique et le comité d’orientation de la fondation Arnaud Adida, Akrame Benallal, Simon Brodbeck, Lucie de Barbuat, Emmanuelle de l’Ecotais, Isabelle Juy.

Le fruit de la vente de ces photographies ira à la Croix Rouge, sélectionnée par la fondation, en lien avec la Ville de Deauville. Initial LABO est fier de s’associer à la Fondation Photo4food à cette occasion tant nous partageons leurs valeurs.

Le but de la fondation est de mettre l’art au service des autres. Cette initiative est l’essence même de notre raison d’être : combattre la pauvreté grâce à la vente de photographies et rendre la générosité de nos photographes en leur donnant une exposition unique.

VIRGINIE ET OLIVIER GOY

Vous pourrez découvrir très prochainement sur notre blog des interviews exclusives des acteurs de la fondation photo4food.

Photo : FLORE

Du vendredi 29/10 au lundi 01/11

10h30 – 18h30

Atelier de tirage photographique sur imprimante EPSON et papier Hahnemühle avec nos tireurs Yonnel Leblanc et Aurélie Guillou.

Rencontres avec l’ensemble des équipes Initial LABO pour échanger sur vos projets photographiques.

Vendredi 29 octobre

10h30 – 12h30

Conférence EPIC

18h30 – 20h30

Soirée d’ouverture ouverte à tous

Les Franciscaines – La Chapelle

Présentation du festival et des photographes par Monsieur Le Maire de Deauville, Philippe Augier et Laura Serani, Directrice artistique de Planches Contact
Suivi d’un cocktail public (Les Franciscaines – Le Cloître)

Programme du samedi 30 octobre

10h30 – 18h30

Atelier de tirage photographique sur imprimante EPSON et papier Hahnemühle avec nos tireurs Yonnel Leblanc et Aurélie Guillou.

Rencontres avec l’ensemble des équipes Initial LABO pour échanger sur vos projets photographiques.

11h – 13h

Vernissage itinérant

Rendez-vous Place Claude Lelouch

Joel Meyerowitz – Plage
Baudouin Mounda – Grand bain
Joan Fontcuberta – Avenue Lucien Barrière
Joel Meyerowitz – Hôtel Le Normandy Barrière
Embarcadère – Riverboom

15h30 – 18h30

Vernissage itinérant 

Rendez-vous au Point de vue (Place des six fusillés)

Planète Initial 

Plage – fondation photo4food avec Pierre-Elie de Pibrac, Costanza Gastaldi, FLORE et Caimi&Piccinni

Petit bain – SMITH

Cour des expositions : Tremplin Jeunes Talents : Teo Becher, Celine Croze, Antoine   

Lecharny, Alisa Martynova, Anne-Lise Broyer, SMITH et Diplomates, Joan Fontcuberta, Antoine d’Agata et projections de photo4food et Riverboom. 

18h30 – 19h30

Remise du prix Tremplin Jeunes Talents 

Les Franciscaines – Le Cloître

Programme du Dimanche 31 octobre

10h30 – 18h30

Atelier de tirage photographique sur imprimante EPSON et papier Hahnemühle avec nos tireurs Yonnel Leblanc et Aurélie Guillou.

Rencontres avec l’ensemble des équipes Initial LABO pour échanger sur vos projets photographiques.

12h00 – 13h00

Remise des prix 25ème heure Longines 

Les Franciscaines – La Chapelle

14h00 – 15h30

Lectures de portfolios

Les Franciscaines – Salons de créativité

16h00 – 19h00

Vente aux enchères photo4food 

Les Franciscaines – La Chapelle

Programme du Lundi 01 Novembre

10h30 – 18h30

Atelier de tirage photographique sur imprimante EPSON et papier Hahnemühle avec nos tireurs Yonnel Leblanc et Aurélie Guillou.

Rencontres avec l’ensemble des équipes Initial LABO pour échanger sur vos projets photographiques.

Pour l'occasion nous avons échangé avec Nilmar Lage, lauréat de l'appel à candidature avec sa série  «A fé que vem das águas, vem do azul suave...» afin de mieux connaitre son écriture photographique, les thématiques qu'il travaille et l'impact de la pandémie sur son inspiration. Découvrez cet échange en intégralité suivis d'une présentation de sa série.

Le Festival de photographie de Paranapiacaba (FF Paranapiacaba) est une plateforme d’alphabétisation visuelle prônant la préservation des équilibres naturels, les droits de l’homme et l’accès à l’éducation, Il aborde des questions pertinentes sur la durabilité, la mémoire et le patrimoine.

Cette quatrième édition du Festival est consacrée à l’eau, élément essentiel à la survie de tous les organismes.

Initial LABO et IANDE s’unissent à cette occasion pour vous faire découvrir le Festival de Paranapiacaba et permettre à des photographes brésiliens d’exposer leur travail en France.

IANDE est une plateforme culturelle interna4onale ciblé sur la France, en vue de communiquer sur la photographie brésilienne. Iandé, qui signifie Nous est un trait d’union entre le Brésil et la France, pour les photographes, les commissaires, les galeristes, les collectionneurs, l’enseignement, la recherche et les institutions liées à la photographie.

Initial LABO de par son attachement continue à la photographie brésilienne, que se soit au niveau du Mécénat auprès de la Bibliothèque Nationale de France, de son soutien à l’association SOS Assistances de Fotografia venant en aide aux assistant de photographes touchés par la pandémie ou bien par la riche sélection de livres brésiliens présents dans notre librairie.

Suite à l’appel à candidature lancé cet été, plus de 500 candidatures ont été reçus. Le jury composée de Denise Carmargo, Héloïse Conesa, Emmanuelle Hascoët, Joao Kulcsár et Glaucia Nogeira ont choisis cinq lauréats qui seront exposés chez Initial LABO du 23 septembre au 10 octobre 2021.

Pour l’occasion nous avons échangé avec Nilmar Lage, lauréat de l’appel à candidature avec sa série  «A fé que vem das águas, vem do azul suave…» afin de mieux connaitre son écriture photographique, les thématiques qu’il travaille et l’impact de la pandémie sur son inspiration. Découvrez cet échange en intégralité suivis d’une présentation de sa série.

Un sujet sensible à photographier

“Avant de commencer cette série en 2003, j’avais envie de travailler sur la vie quotidienne de personnes en vulnérabilité. Entre 2005 et 2012, j’étais dans un conflit éthique personnel sur la façon de photographier ces personnes et de ne pas les exposer de manière négative, étant donné qu’elles étaient déjà exploitées par tous les impacts sociaux.

C’est en 2012 que j’ai réussi à « résoudre » mon angoisse de manière éthique et esthétique, en minimisant la pertinence du visage, de la personne et en attirant l’attention sur le contexte, qui est un contexte plus généralisé et non individuel.

Depuis, j’ai continué à photographier mes sujets d’intérêt, principalement liés à la défense des Droits de l’Homme, et à améliorer ma façon de représenter ces réalités. Si, d’un côté, je « supprime » la personnalité dans les images que je produis, de l’autre, je mets un point d’honneur à mettre le nom et le lieu dans la légende.

J’ai toujours travaillé sur ce type de problématiques, mais une fois que j’ai résolus éthiquement et esthétiquement la manière de les exprimer j’ai atteint une certaine liberté créative.”

Un travail immersif permettant de respecter au mieux le sujet.

“Ma manière de travailler sur ces sujets est assez systématique, je réalise des immersions participatives dans les communautés, j’ai un temps minimum pour entamer une démarche de confiance avec les gens. Bien que je sois journaliste de formation, le travail documentaire est un peu différent, car il permet cette coexistence un peu plus prolongée. Il ne s’agit généralement pas d’un simple voyage rapide à travers la communauté, le territoire ou la ville.


Le Brésil est un pays qui a des inégalités dans sa genèse, donc les problèmes que je vois dans la vallée de Jequitinhonha, qui est une région où je travaille beaucoup et où je suis très bien reçu, ces problèmes se répètent, s’étendent et se perpétuent plus ou moins à travers le pays. Des classes sociales plus aisées exploitant les personnes vulnérables, la spéculation immobilière travaillant pour le compte de grands hommes d’affaires, les projets miniers ne respectant pas les droits des communautés traditionnelles. Bref, ce sont des problèmes structurels au Brésil qui ne présentent toujours pas de possibilités de changement dans un avenir proche.

Dès l’accueil de ces personnes. Quand ils réalisent et acceptent de collaborer avec ce que je fais, cela se fait tout naturellement par moi. Je les traite comme je voudrais être traité par n’importe qui. Je respecte les valeurs séculaires, les croyances et les traditions, excusez-moi, prenez un café… ma lecture de la lumière est quelque chose qui commence à devenir inhérente à mon travail et à la façon dont j’oriente ma lumière depuis près de 10 ans.”

L’impact de la pandémie sur les populations.

La pandémie à précipité de nombreux problèmes pour ces personnes dans leur vie quotidienne. Du manque de consommateurs pour les agriculteurs, l’obligation de faire les cours en ligne pour les élèves, les problèmes de nourriture, en passant par la surexposition au virus car ils ne pouvaient pas s’absenter du travail, les conséquences sont nombreuses dans la vie des personnes les plus vulnérables.

Des inspirations multiples

J’ai des références dans le langage documentaire et le photojournalisme. Il y a deux écoles dont j’essaie d’être proche pour absorber les connaissances, l’inspiration et l’expérience. J’observe des œuvres classiques comme Robert Frank, Susan Meiselas, Evandro Teixeira à des œuvres contemporaines comme Mauro Pimentel, Rodrigo Zeferino, Isis Medeiros

2022, une année studieuse…

“Je termine ma maîtrise, un projet photoethnographique dans la communauté Quilombola do Ausente, à Vale do Jequitinhonha. J’espère qu’après avoir soutenu ma thèse, je pourrai faire circuler les photos, vidéos et comptes rendus de ce travail en cours”

 NILMAR LAGE – «Corpos Conflitantes»

 “Corps en Conflit” est une expression issue du concept du sociologue Darcy Ribeiro.  Cette série met en relief les paysans, les ouvriers, les servantes, les employés de nettoyage, les prostituées, leur point commun étant d’être presque tous analphabètes et incapables de s’organiser pour revendiquer. 

Leur but quotidien est de s’intégrer dans un système qui, étant impraticable, les place dans la condition d’une classe intrinsèquement opprimée et dont la lutte devra être celle de  rompre avec la structure des classes.  

Défaire la société pour la refaire. Des hommes et des femmes dont les histoires de résistance sont interprétées par l’artiste à partir des champs ruraux et urbains, d’établissements, des populations riveraines et des familles affectées par les projets miniers.

Nilmar Lage

Diplômée en Journalisme, puis en troisième cycle en cinéma et langage audiovisuel . Professeur de photojournalisme et de communication comparée. Photographe depuis 2003, il a déjà exposé son travail au Brésil et à l’étranger. 

En 2017, il publie son premier livre “Conflicting Bodies”, qui traite de la marginalité dans le système actuel, il reçoit le prix “Médias et Droits de l’Homme” par le SEDPAC/MG. Il est en constante recherche documentaire dans la vallée de Jequitinhonha et dans les régions baignées par les boues des rivières Doce et Paraopebas. 

Collabore avec The Intercept Brasil, AFP, Brasil de Fato, Agence publique, Greenpeace, Mouvement des personnes affectées par les barrages – MAB, MST, Brazil Human Rights Fund, Mídia Ninja.

Pour suivre le travail de Marcio Borsoi :

Exposition FF Paranapiacaba chez Initial LABO

LES TERRITOIRES DE L’EAU 

Raphael Alves – Marcio Borsoi – Nilmar Lage –  Mergulha et Voa – Sheila Oliveira – Elza Lima – Julia Pontes – Marinele Ribeiro 

DU 23/09 AU 10/10 

Une célébration de la photographie aux confluents de la préservation des équilibres et des territoires créatifs.



Tous les mois,

retrouvez les prochaines expositions, rencontres ,
sorties de livres des photographes
avec qui nous travaillons au quotidien,

les rendez-vous photographiques
incontournables
auxquels nous participons,

et les vernissages de nos expositions.

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