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Ecouter Mandarine

Une exposition à découvrir chez Initial LABO du 2 au 22 avril et Vernissage le 25 avril (Entrée Libre)

Initial LABO a été ravi de mettre à disposition son expertise pour la production de l’exposition « En aparté » de Fredélion Immobilier.

Une exposition photographique sur le thème « de ma fenêtre »

Le 16 juin 2022, la première édition de « En aparté », une exposition photographique sur le thème « de ma fenêtre » a été lancée.

Imaginé dans une vocation de partage, d’ouverture et de convivialité par les fondateurs de Fredélion, « En aparté » reflète la façon dynamique et engagée dont nous concevons notre métier.

Cet évènement a réuni 10 photographes qui se sont emparés du motif « de ma fenêtre » pour proposer leur vision du monde :

Les lauréats :

Siouzie Albiach

Richard Pak

Andre Merian

Les autres photographes : Frédérique Stucin, Isabelle Scotta, Julie Poncet, Letizia Le Fur, Charlotte 4B et Sandra Matamoros.

A découvrir du 24 mars au 02 avril 2023 de 8h à 21h et Vernissage le 24 mars à 18h30

Pour cette seconde participation à Carte Blanche aux galeries d’art organisée par la Mairie de Boulogne-Billancourt, Initial LABO propose au public de redécouvrir les oeuvres de Changnam Lee et François Darmigny. 

L’espace Landowski se transforme en immense galerie d’art

Chaque année la ville de Boulogne Billancourt permet aux amateurs et aux collectionneurs de découvrir de nouveaux artistes au sein de l’espace Landowski qui accueille durant deux semaines les galeries boulonnaises, témoins et actrices de la richesse culturelle de la ville. Celles-ci ont ainsi “carte blanche” pour présenter les artistes qu’elles accompagnent. Des ateliers et animations sont également proposées à destination de toute la famille.

Changnam Lee : La vague réagit à la lumière

L’artiste :

Artiste coréenne née en 1964, diplômée de l’école supérieure des arts de l’Université Chung-An ainsi que de la College of Art de l’Université Kyungwan. Changnam Lee est chargée de cours au College of Art de l’université de Dankook et Maitre de conférence à l’Université nationale de Kangwon. Son travail à été exposé à de nombreuses reprises en Corée du Sud, en Chine, au Japon, en Malaisie et à Singapour, que ce soit dans des musées d’Art, des galleries ou des salons d’art. Ces oeuvres ont intégrées diverses collections que ce soit le Pavillon Jongno-Qu,, le Centre de Hallin, le Musée National d’Art Moderne et contemporain ainsi que des fondations privées.

L’exposition :

“Dans ma mémoire, la mer a un flux continu plus large que l’instant fugace. L’océan, avec le flux de mes émotions et de la lumière est encore plus vaste et infini. Face à lui, je me libère de mes souvenirs qui m’emprisonnent et trouve un instant de réconfort .”

Au moment où les vagues rugueuses frappent fortement le rivage et se détachent, mes émotions refoulées et inconnues disparaissent également. Ma série d’œuvres capture le flux des vagues dans l’obscurité. Le flux continu d’ondes se décompose en divers spectres dès que l’on appuie sur l’obturateur et prend une apparence peu familière.

Au-delà de la reproduction de la réalité, celle-ci est reproduite sous forme d’ondes d’irréalité et d’ondes aux couleurs variées. C’est ainsi que les émotions incertaines nées de la distance physique entre la mer et moi s’expriment de diverses manières en superposant les images rémanentes dans la mémoire.

Au travers de ces rencontres avec la mer , je m’abandonne et je m’abandonne et introspecte cette face caché de moi-même. L’anxiété , le désir, la réalité , l’insatisfaction qui jusqu’alors étaient réprimés, rugissent de l’intérieur tel une vague.

J’ai toujours envie de la mer. C’est parce que je rencontre un moment magique qui révèle honnêtement mes différentes facettes de mes émotions cachées et que je me délivre des contraintes de mon esprit.

François Darmigny : Wheels & Waves

L’artiste :

François Darmigny est connu du grand public pour ses nombreuses couvertures de magazines, affiches de films, campagnes publicitaires et la qualité de ses reportages photos. Après avoir suivi l’actualité Internationale et les grands événements sportifs, couvrant notamment les guerres du Liban et d’Afghanistan, François Darmigny devient photographe indépendant au milieu des années 1990. Son univers : capter et immortaliser les émotions, les personnalités, les attitudes et les caractères en leur donnant une dimension artistique. Sa devise : mettre l’humain au coeur de l’image. Sportifs, acteurs, animateurs télé, mannequins, personnalités des arts et du spectacle, personne n’échappe à son objectif.

L’exposition :

Passionné de moto depuis sa plus tendre jeunesse, François Darmigny découvre par hasard en 2016 le festival international de motos vintage “Wheels & Waves”. Inclassable, iconique et incontournable il est aujourd’hui une référence pour les amoureux de mécanique, de liberté et de style. Comme à son habitude, François capte l’essence même de ce rassemblement et décide de publier trois années de suite ses reportages dans le magazine VSD, contribuant ainsi à faire découvrir au grand public cet événement hors normes.


La rencontre avec Jérôme Allé, Vincent Prat et Julien Azé se fait naturellement, comme une évidence, autour de cette passion commune : la glisse, la moto, la liberté… une façon de vivre et de penser. De rencontres mémorables en courses effrénées, François décide de publier un coffret photo, tel un album souvenir de ces belles mécaniques en hommage à ces hommes et ces femmes extraordinaires qui les conduisent : pour laisser une empreinte de ces moments magiques….

Animation : Atelier Photowalk

Venez révéler votre regard sur la ville lors de cette masterclasse avec le  photoreporter Jeremy Lempin et FUJI INSTAX, le samedi 1er avril à 15h.


Inscription obligatoire

Une exposition à découvrir chez Initial LABO du 7 au 25 mars

Vernissage le jeudi 9 mars à 18h – Ouvert du mardi au samedi de 10h à 19h

Planches Contact, hors les murs

Initial LABO et le festival de Deauville Planches Contact vous invite à découvrir l’exposition “Planches Contact, hors les murs”. Une sélection d’œuvres réalisées pendant la résidence des photographes Carolle Benitah et Stefano De Luigi, et exposées à Deauville, aux Franciscaines, d’octobre 2022 à janvier 2023.

Carolle Benitah – La courbe du bonheur

« Il me tient à cœur de m’imprégner de l’histoire de Deauville afin de trouver un sujet qui résonne avec mes propres préoccupations pour ensuite transformer ces traces du passé et en faire une œuvre aux préoccupations et à l’esthétique contemporaines. »

Stefano de Luigi – Zéro

« Il me tient à cœur de m’imprégner de l’histoire de Deauville afin de trouver un sujet qui résonne avec mes propres préoccupations pour ensuite transformer ces traces du passé et en faire une œuvre aux préoccupations et à l’esthétique contemporaines. »

Vernissage de l’exposition

Nous avons également le plaisir de vous convier au Vernissage le 9 mars 2023 à partir de 18h, en présence de Carolle Benitah et de Laura Serani, directrice du festival.
A cette occasion sera dévoilé l’avant programme de la prochaine édition du festival avec les nouveaux résidents sélectionnés dans la section Tremplin jeunes talents – soutenue cette année par la Fnac – et dans la section fondation photo4food

Du 09 au 24 mars chez Initial LABO – du mardi au samedi de 10h à 19h
Vernissage le jeudi 09 février à 18h 

Initial LABO a le plaisir d’accueillir de nouveau au sein de sa galerie le travail des lauréats du Prix “Résidence pour la Photographie” de la Fondation des Treilles du 09 au 24 février. Cette exposition présentera le fruit des travaux réalisés par les photographes pendant leur résidence aux Treilles, et de présenter les nouveaux lauréats, résidents en 2023.

Vernissage Jeudi 9 février

Initial LABO et la Fondation des Treilles ont le plaisir de vous inviter le 9 février 2023 à partir de 18h au vernissage de l’exposition consacrée au Prix “Résidence pour la Photographie” de la Fondation des Treilles, au sein de la galerie d’Initial LABO.

Le vernissage aura lieu en présence de Maryvonne de Saint Pulgent, présidente de la Fondation des Treilles, du président du jury Jean-Luc Monterosso, de Guillaume Bourjeois, directeur de la Fondation des Treilles, et de Dominique Laugé, coordinateur du Prix.

Ce vernissage sera l’occasion de découvrir le travail des Lauréats ayant résidé cette année au sein de la résidence mais également de participer à l’annonce des nouveaux lauréats !

Sera également dévoilé, en partenariat avec l’imprimeur Escourbiac, le premier “Prix Escourbiac – Fondation des Treilles”, qui aide à la publication d’un livre photographique en lien avec le monde méditerranéen.

L’Exposition

Les artistes résidents en 2022, Mohamed Camara, Alain Fleischer et Karine Pierre nous invitent cette année à découvrir par leur regard trois points d’entrée singuliers dans les récits méditerranéens.  

Mohamed Camara fait chanter le vent de la Méditerranée au travers de rideaux tissés à Bamako et chargés d’histoires à révéler. Alain Fleischer rend hommage à la transdisciplinarité chère aux Treilles, par son interprétation onirique et immersive du poème d’Ovide. Karine Pierre livre avec “Terres déchiquetées” une iconographie de la survie, condensée dans le “Gaza Hospital” délabré de Beyrouth.

Initial LABO est honoré de pouvoir accueillir au sein de sa galerie l’exposition : “Love! Love! Love! Hommage à Pelé” du 06 au 28 janvier 2023.

Un hommage au “Roi Pelé”

Obrigado! Initial LABO rend hommage au “Roi Pelé”, avec une exposition de photos peu vues en France des photographes Juan EstevesJean Claude DeutschDomicio Pinheiro, Rafael et José Dias Herrera ainsi que de tirages issus du Fonds photo de l’Équipe qui, fort de plus de de 12 millions d’images, témoigne de l’histoire du sport et de ses plus grandes légendes comme Pelé. Seront également exposés des extraits de “The Pelé Albums”, publiés en 1990 par Weldon Publishing : une compilation de documents provenant de sa collection privée, ainsi que de journaux, magazines, journalistes et photographes, et commentés par Pelé lui-même. L’occasion de se replonger dans deux moments majeurs de son parcours : son millième but, et sa troisième Coupe du Monde!

Au Brésil, Rio de Janeiro, Ursula ANDRESS, ouvre le défilé des écoles de Samba au Carnaval de Rio 1979 : sur un balcon surplombant le défilé, Ursula ANDRESS, en robe décolleté, avec des plumes dans les cheveux, posant avec le footballeur PELE, en présence de deux jeunes hommes non-identifiés.

Vendredi 20 janvier de 18h à 20h, Initial LABO est ravi d’accueillir FIFOU, Elisa Parron, Sylvie Barco et le magazine DRP pour une Rencontre Signatures.

Un échange autour de la photographie et la street culture

Une soirée dédiée à la street culture, avec trois photographes en dédicace et en partenariat avec le magazine et festival DRP

Venez échanger avec FIFOU, photographe à qui l’on doit les plus célèbres pochettes d’albums du rap français, regroupe 20 ans d’archives  dans un ouvrage de plus de 500 pages; Elisa Parron, qui retrace dans Numéro 10 ses 8 premières années  à photographier le rap français et le PSG; Sylvie Barco  avec un coffret de photographie d’art en édition limitée, regroupant l’ensemble des oeuvres de sa collection emblématique Wall Street : 42 diptyques formés de deux murs issus de deux lieux différents, et dont les tags dialoguent en un langage universel.

Initial LABO est ravie d’avoir pu soutenir Jérémy Lempin durant le Tour de France afin de mener à bien son fabuleux projet. Ce projet photographique fait aujourd’hui l’objet d’une exposition à l’Espace Fuji Instax de la Fnac Montparnasse, Paris.

Le photographe Jérémy Lempin

Titulaire d’un CAP en photographie et d’un BAC professionnel en photographie, Jérémy Lempin ne laisse personne indifférent, surtout les protagonistes de ses reportages.

Qu’il s’agisse de vivre le quotidien d’un pompier urgentiste, d’intégrer le groupe très fermé des ultras du Racing Club de Lens, ou de documenter l’intimité des légionnaires du prestigieux 2ème REP ( Régiment Etranger de Parachutistes). Il n‘a de cesse d’ « aller voir », de confronter les regard pour contrer les idées reçues. 

Le Tour de France, une expérience populaire qui réunit les Français.

Suite à deux années perturbées par la pandémie, les spectateurs sont de nouveau acceptés sur les routes du Tour de France. Cet heureux événement a fait l’objet d’un fabuleux projet photographique mené par le photographe Jérémy Lempin : Photographier en images instantanées “les gens sur le bord de la route, les paysages, le patrimoine, les visages, les expressions, les sourires mêlés aux larmes qui accompagnent cet événement égal à aucun autre pour observer si l’insouciance a retrouvé dans la foule sa place de toujours ou si finalement la pandémie serpente encore, insidieuse et ingrate.”

Jérémy Lempin a alors, muni de ses appareils Instax Fujifilm Europe et de son van, arpenté les routes de la grande boucle du Tour de France durant 4 semaines.

Le Tour de France en image

Durant son tour de France il était possible de suivre toutes ses aventures sur les réseaux sociaux, points de rendez-vous qu’Initial LABO ne manquaient pas.

Voici quelques photos si vous les avez manqué.

Jour 3, 6ème étape Binche-Longwy

Aujourd’hui j’étais a la frontière belge à Regniowez un village qui existe depuis le 14ème siècle et qui a été marqué par la présence d’un fils naturel de Louis XV.

J’y ai rencontré Stessie, gendarme originaire de la Réunion, avec son parapluie donné par un passant.
Deux minutes avant je parlais avec des spectateurs du cru: “Ici c’est toujours pareil, dès que le Tour passe, il pleut”.

Jérémy Lempin

Jour 4, 7ème étape Tomblaine-La super Planche des Belles Filles

Aujourd’hui j’étais à Gerardmer surnommée « La perle des Vosges » par Abel Hugo le frère de Victor. Effectivement c’est dans un de ses récits datant de 1835, « La France pittoresque », qu’il attribua ce surnom à la ville .

J’y ai rencontré Medar un géant gonflable, cyclope. L’histoire raconte qu’il voulait découvrir la France voir la beauté de ce pays du coup une bande de joyeux lurons venant de Eeklo en Belgique réalise son rêve et chaque jour l’installe pour lui faire découvrir une nouvelle région française.

Jérémy Lempin
"Il est interdit d’enfermer les oiseaux en cage" de Emeric Lhuisset, une exposition produite par Initial LABO à découvrir à la Galerie Gilles Drouault du 16 octobre au 21 novembre.

“Il est interdit d’enfermer les oiseaux en cage” de Emeric Lhuisset, une exposition produite par Initial LABO à découvrir à la Galerie Gilles Drouault du 16 octobre au 21 novembre.

Le photographe Emeric Lhuisset

Émeric Lhuisset a grandi dans la banlieue parisienne dans l’Essonne et découvre l’art dans les livres d’histoire-géographie. Il réalise ses études aux Beaux-Arts de Paris sous l’enseignement de Guillaume Paris, Christian Boltanski et Jean-Marc Bustamante puis se spécialise en géopolitique à Paris I et à l’ENS.

Il est professeur de photographie à Science Po Paris et anime des cycles de conférence sur le thème Art contemporain et géopolitique. Son travail artistique principalement réalisé en zone de conflits oscille entre art contemporain et photojournalisme. Il étudie au début des années 2000 les zones de conflits en Europe et au Moyen-Orient, tout particulièrement en Syrie, en Irak, en Ukraine et en Afghanistan. Malgré les problématiques géopolitiques traitées dans ses travaux, Émeric Lhuisset ne se qualifie pas de photoreporter. Il travaille la mise en valeur esthétique de ces problématiques.

Montrer un nouvel Afghanistan

“15 août 2021, Kaboul tombe aux mains des Talibans. Faisant partie de cette génération dont l’entrée dans l’âge adulte a été marquée par la tragédie des attentats du 11 septembre 2001, cet évènement me paraît d’autant plus marquant qu’il semble clôturer cette doctrine de la guerre contre le terrorisme instaurée par G. W. Bush.  Qu’est devenu ce pays à la fois connu de tous et en même temps totalement méconnu?”



A travers ce projet, Emeric Lhuisset cherche à montrer ce nouvel Afghanistan en dressant le portrait à la fois de ceux qui incarnent le nouvel état au moment de leur arrivée au pouvoir en automne 2021, puis 1 an plus tard, de ceux qui en sont les victimes et qui vivent maintenant sous le joug de ce régime. 

Initial LABO est ravi de mettre en lumière les livres photographiques de ses photographes. Découvrez "Homo détritus" de Stéphan Gladieu.

Initial LABO est ravi de mettre en lumière les livres photographiques de ses photographes. Découvrez “Homo détritus” de Stéphan Gladieu – Actes Sud.

Le photographe Stéphan Gladieu

Stephan Gladieu repousse les limites de la photo documentaire et de reportage pour la faire entrer dans le champ de la fiction et leur conférer une dimension plasticienne quasi picturale.

Son sens inouïe de la dramaturgie de l’image, de la mise en scène en se réappropriant des décors de nature, qui deviennent comme autant de lieu de narration, ses clichés sur-vitaminés, qui sont dans l’ADN de l’ensemble de ses dernières séries contrastent avec le côté sombre et inquiétant de certaines de ses photos noir et blanc réalisées du temps de ses reportages comme photographe de guerre et d’actualité.

Pour faire appel à des références, on pourrait dire qu’il y a du Douanier Rousseau mâtiné de Martin Parr dans les dernières photos de Gladieu.

Dans ces photographies, qui semblent tout droit extraites d’une fable, point de décorum ni de décors superflus, mais tout simplement la vie telle qu’elle se déroule aux confins du monde et se donne à voir … un grand divertissement en plein air, des images très séduisantes mais qui conservent chacune une capacité d’évocation hors norme …

Homo détritus, les déchets de la surconsommation

« La République démocratique du Congo est un scandale géologique. » Sans détour, le photographe français donne le ton de son propos. Deuxième plus grand pays des 54 états qui composent le continent africain, la RDC ou Congo Kinshasa possède l’un des sous-sols les plus riches au monde : or, coltan, diamant, cobalt, pétrole… Il demeure pourtant à la huitième place sur la liste des pays les plus pauvres de notre planète. Dans la capitale, les bidonvilles croulent sous les déchets en tout genre : téléphones portables, plastiques, bouchons, mousses synthétiques, chambres à air, tissus, câbles électriques, seringues, cartons, capsules, pièces détachées de voiture, canettes…

Dans cette série de portraits, Gladieu met en scène un collectif d’artistes fondé il y a six ans par le plasticien Eddy Ekete. Ces peintres, chanteurs et musiciens se sont unis pour dénoncer la tragédie de leur quotidien, les guerres qui en découlent, l’exploitation des femmes et des hommes, et la misère qui les prive de toute dignité. Utilisant les détritus comme matière première, ils confectionnent des tenues et des masques inspirés des traditions africaines pour dénoncer le chaos écologique dans lequel la RDC est maintenue. « Le collectif m’a accueilli pour réaliser ce projet », raconte le photographe. « J’ai choisi de réaliser leurs portraits dans les rues de Kinshasa, avec des décors et des personnages qui se répondent. » Des Homo Détritus, fabuleusement grotesques et terriblement évocateurs d’un mal moderne : celui de la vanité de la surconsommation.

Initial LABO est ravi de mettre en lumière les livres photographiques de ses photographes.

La photographe Céline Croze

Celine Croze est une artiste visuelle ayant reçu une formation en cinéma.
Née au Maroc, elle vit à Paris. Sensible aux fêlures que traverse notre société, Celine Croze utilise les codes cinématographiques pour transgresser le monde qui l’entoure, s’immiscer dans la faille de ceux qu’elle regarde.

Ses travaux ont été présentés aux Rencontres internationales de la photographie de Fès, au Billboard Festival de Casablanca et d’Istanbul, à la Biennale de Marrakech et du Paraguay, au festival de Kassel, au Fuam d’Istanbul et à la Fondation de la Photographie de Tanger.

En 2019 elle est lauréate du festival InCadaqués ainsi que du prix Révélation aux Rencontres photo de Tanger Face à la Mer, en partenariat avec le festival MAP, avec sa série SQEVNV. En 2020, elle est lauréate du prix Mentor pour son projet Mala Madre.

“Siempre que” de Céline Croze

« Siempre que estemos vivos nos veremos »

« Tant que nous serons en vie nous nous verrons »

C’est la dernière phrase que m’a dite Yair. Nous étions sur l’azotea (toit) du bloc 11, la brume enveloppait Caracas, la rumeur folle de la ville ressemblait à un chant funèbre. C’était une balle dans mon cœur. La conscience de sa propre fin avait quelque chose de terrible et sublime à la fois. Tout était dit. L’urgence de la vie, la fascination pour la mort, l’effondrement du pays.

L’extrême violence et l’absurdité de la situation donnait l’impression que la vie n’était qu’un jeu.

L’extrême violence et l’absurdité de la situation donnait l’impression que la vie n’était qu’un jeu.

Je me rappelais deux jours plus tôt la gallina (arène pour combats de coqs). L’odeur du sang mélangée au rhum et la sueur, les cris de rage, l’excitation de chaque homme. Une transe impalpable enivrait l’arène. Comme si nous étions tous fous. Comme si le sang, la mort et le pouvoir rendaient plus vivants.

L’énergie chaotique de la ville raisonnait dans chaque combat telle une danse qui se déploie, qui reste et pleure impuissante.

Un mois plus tard, Yair fut abattu. Il avait 27 ans.

Mes errances en Amérique latine furent traversées par d’autres rencontres saisissantes. Comme ces coqs de combats, je voyais des êtres danser et s’accrocher au désordre. J’y retrouvais à chaque fois cette même sensualité insolente, comme une furieuse provocation, comme un cri d’adolescent amusé par le danger, condamné et libre.

Initial LABO est ravi de mettre en lumière les livres photographiques de ses photographes.

Le photographe Alain Keler

Alain Keler est un photographe photojournaliste français.

Membre de l’agence MYOP depuis 2008, il a été successivement photographe à l’agence Sygma, puis Gamma et co-fondateur de l’agence Odyssey images.

Rendu célèbre par une photo qui fit le tour du monde lors de la prise de pouvoir de Khomeiny en Iran, ce photojournaliste a couvert tous les conflits majeurs depuis les années 80, du Liban à la Tchétchénie.

America Americas Latina, le continent sud-américain

1973. Après deux années passées à New York (America, Americas – New York, Éd. de Juillet, 2021), Alain Keler reçoit sa première commande photographique. Un éditeur américain le missionne pour réaliser des images d’illustration sur le continent sud-américain. Au cours de ses deux voyages, le jeune Alain appréhende ce métier qu’il désirait tant pratiquer. Mexique, Vénézuela, Guatemala, Chili, Argentine,Pérou, Porto Rico… son long périple l’amène à croiser  les grands événements et les gens ordinaires qui les vivent. Lorsque les clichés commandés sont dans la boîte, le photographe réalise des images plus personnelles, en continuité avec sa pratique new- yorkaise, des images à la sauvette, ancrées dans le quotidien, avec son regard empreint d’humanité et d’empathie.

Le deuxième volume d’America Americas retrace les premiers pas de photographe professionnel d’Alain Keler. C’est au cours de ces deux voyages sud-américains qu’il est contacté par l’agence Sygma, qu’il intégrera en 1975 pour mener la carrière que l’on sait.

Partenaire de Photo Days, Initial LABO accompagne le festival dans la production de ses expositions.

DU 15 OCTOBRE AU 11 DÉCEMBRE 2022

Un Festival photographique créé à l’initiative de Emmanuelle de l’Ecotais

PHOTO DAYS est une nouvelle association culturelle initiée par Emmanuelle de l’Ecotais. Elle a été conservateur pour la photographie au Musée d’Art moderne de la Ville de Paris de 2001 à 2018 et en charge de la collection Man Ray au Centre Pompidou de 1994 à 1999. Titulaire d’un Doctorat en Histoire de l’Art, elle a organisé un grand nombre d’expositions en France et à l’étrange.

Depuis 2019, Emmanuelle de l’Ecotais est commissaire d’exposition indépendante, expert et conseil, et s’investit au sein de Photo Doc. principalement dans le cadre du Lab, pour s’engager, avec les artistes, sur les enjeux sociétaux de demain. Enfin elle est membre du comité et directrice artistique de la fondation photo4food.

Convaincue que la photographie peut aussi agir sur la transformation du monde, Emmanuelle de l’Ecotais est engagée dans l’association Photo Doc et dans la fondation photo4food.

Photo Days un parcours au plein cœur de la photographie

Créé en 2020, Photo Days propose de fédérer tous les lieux et événements relatifs à la photographie et la vidéo dans Paris en novembre. Fort du succès de sa première édition, Photo Days présentera du 15 octobre au 11 décembre 2022 un parcours à travers plus de 80 lieux dans Paris, regroupant les institutions, les galeries, les foires, une maison de vente, quelques lieux privés soigneusement choisis comme des ateliers d’artistes, des laboratoires ou des appartements de collectionneurs, afin de proposer aux visiteurs, professionnels ou amateurs, une immersion photographique totale au moment où Paris devient la capitale mondiale de la photo.

Initial LABO accompagne PhotoDays dans la production de ses expositions

Humanities” by Rhapsody Curated

A découvrir chez Initial LABO
Du 07 novembre – 03 décembre
Vernissage le mardi 15 novembre – 18h

Dans le cadre du Parcours Photo de Boulogne Billancourt à l’occasion de Photodays, Initial LABO présente Humanities, la première saison de Rhapsody Curated, plateforme de NFT dédiée à la photographie de haute curation.

Humanities est une étude anthropologique en trois parties du comportement humain,
des cultures et des sociétés à travers l’objectif de quatre photographes. 

North Korea de Stéphan Gladieu nous transporte dans ce pays hermétique pour y rencontrer son peuple et ses coutumes. 

Stéphan Gladieu 

How Much Can You Carry? de Floriane de Lassée présente les poids, physiques et psychologiques, que portent les gens de part le monde.

Floriane DE LASSÉE

Enfin, Autopsy de Pascal Rostain & Bruno Mouron révèle au yeux du monde les entrailles des poubelles des stars et ainsi, leurs vies et leurs habitudes.

Pascal ROSTAIN & Bruno MOURON

1994” de Pieter Hugo 

A découvrir à la Sorbonne Artgallery , Paris
Du 11 novembre au 11 décembre
Vernissage le 10/11 en présence de l’artiste 

1994, c’est la fin de l’Apartheid en Afrique du Sud, avec l’élection de Nelson Mandela. C’est aussi l’année du génocide au Rwanda.  À travers des portraits d’enfants issus de ces deux pays, Hugo interroge  la grande histoire et son histoire personnelle, le rapport de la vie à la mort, et l’empreinte de la mémoire collective dans le regard des enfants.

Photo Days · Sorbonne Artgallery © Pieter HUGO, Portrait #3, Rwanda, 2014, c-print · courtesy PRISKA PASQUER, Cologne

Paris (contralto) de SMITH

A découvrir à La Caserne , Paris
Du 09 novembre au 20 novembre
Vernissage le 08/11 en présence de l’artiste
 

SMITH est le lauréat 2021 de Paris je t’aime × Photo Days.
Pour cette première édition du Grand prix autour du thème “Paris vert”, l’artiste propose un portrait de la ville dans une tessiture visuelle à la marge de celles habituellement employées pour chanter Paris, ville qui l’a vu naître, grandir, et qu’il hante encore aujourd’hui. Le contralto est la voix de femme la plus grave: une voix rare, de l’entre-deux, caractérisée par une mystérieuse chaleur, paraissant dévoiler une autre réalité. Cette série, est réalisée à la caméra thermique, outil de prédilection du photographe depuis dix ans, dont la singularité est de capter les ondes de chaleur dégagées par les corps vivants.

Photo Days · Grand Prix (c) SMITH, Paris (Contralto), 2022

Partagepar la Fondation photo4food

A découvrir à l’Hotel de Sauroy, Paris
Du 18 au 27 novembre
Vernissage le 17 novembre à 18h en présence des artistes

La fondation photo4food, créée par Virginie et Olivier Goy,  remercie et encourage les artistes qui la soutiennent en promouvant leur travail auprès d’une large communauté de passionnés et d’acheteurs. Cet automne, c’est au sein du prestigieux Hôtel de Sauroy que les principaux artistes qui ont fait don de leurs oeuvres au profit de la fondation seront exposés dans le cadre de l’exposition « Partage »

Stanislas Augris 

Découvrez "Habana's Old car" de Véronique Fel, une exposition produite par Initial LABO à découvrir à la galerie Sarto à Paris du 22 octobre au 12 novembre.

“Habana’s Old car”, une exposition produite par Initial LABO à découvrir à la galerie Sarto à Paris du 22 octobre au 12 novembre.

Véronique Fel, une attraction pour l’image

Véronique Fel découvre la photographie au collège. Ne sachant pas dessiner, elle se tourne vers cet art, et ses clichés devinrent ses dessins.  Ce fut une révélation. Quelle aventure de pouvoir immortaliser tout ce qui la touche et l’intéresse. Souhaitant laisser une chance à tout ce qui l’entoure de trouver sa place dans sa composition, elle apprend aussi à faire preuve d’une grande patience.

Cette attraction pour l’image va la conduire sur le chemin d’études universitaires en cinéma et vidéo.  S’en suivent presque vingt années d’une première carrière en production au sein de deux grandes agences de presse TV à Paris. En 2010, elle décide de suivre sa voix intérieure et de tout quitter pour se consacrer pleinement à sa passion : la photographie.

La lumière est l’essence même de cet art. Elle découvre l’attrait pictural et graphique de la lumière du zénith. Pourtant, cette lumière est décriée dans le monde de la prise de vue.  Difficile à capter, on   l’a   dit   aveuglante et écrasante.  Véronique, elle, la découvre sensitive, fascinante et audacieuse.  Malgré sa complexité, elle s’inspire de cette lumière et choisit de l’apprivoiser.  A ce choix artistique, elle lie son œil, son ressenti.  Le soleil de midi est l’outil qui lui permet d’exprimer son point de vue sur une situation, une   expérience.   Les   ombres   disparaissent, les   couleurs éclatantes semblent irréelles, comme peintes, et les traits, dessinés. Elle trouve sa signature.

En photographiant l’instant, Véronique Fel dresse un constat esthétique déroutant et fascinant de la réalité de notre temps et de ses paradoxes.

Aujourd’hui elle présente son travail “Habana’s Old Cars” remettant en lumière les anciennes voitures américaines.

“Habana’s Old Cars”

Je ne pouvais revenir sans avoir dans mes images, ces vieilles voitures américaines, incontournables et universelles. Elles sont l’emblème joyeux d’un pays pourtant écorché, sous embargo américain pendant plus de 50 ans. Je savais que l’exercice serait difficile car maintes fois traité. Je réalise dès mon arrivée, qu’elles sont devenues des accessoires purement touristiques, trop maquillées par des couleurs « markétées » et gages de dollars faciles. Ces Américaines perdaient leur romantisme à mes yeux et cela m’attristait. Comment les distinguer par respect pour leur histoire ?

Véronique Fel
Devenu un véritable ambassadeur du festival auprès de sa communauté, Initial Labo vous propose lors du week-end inaugural de venir à la rencontre des photographes invité.e.s et des équipes du Labo

du 28 octobre au 01 novembre aux Franciscaines de Deauville

Devenu un véritable ambassadeur du festival auprès de sa communauté, Initial Labo vous propose lors du week-end inaugural de venir à la rencontre des photographes invité.e.s et des équipes du Labo, pour vivre une véritable expérience rythmée par de nombreuses activités autour de la photographie. 

Signatures,Talks, Tirages photographiques, Studio du magazine PHOTO, Découverte des NFT avec Rhapsody Curated

Découvrez le programme :

Découvrez la magie du tirage photographique 
Yonnel Leblanc, tireur attitré d’Initial LABO, et nos équipes seront présentes pour partager leur expérience, réaliser des/vos tirages et vous donner des conseils techniques sur vos images.

Anticipez le futur de la photographie
Les équipes de Rhapsody Curated, la plateforme de NFT dédiée à la photographie, vous accompagneront dans ce nouvel univers rassemblant la photographie traditionnelle et les nouvelles technologies. 

Vendredi  28 octobre

10h30 – 18h30 
Dans le cloître des Franciscaines
Tirage photographique et permanence NFT 

 17h30 – 19h
Chapelle des Franciscaines
Table ronde : “NFT : nouvel outil de création et de diffusion”
avec Rhapsody Curated
infos et inscription gratuite 

19h
Chapelle des Franciscaines
Soirée d’ouverture – entrée libre 

Samedi 29 octobre
Dans le cloître des Franciscaines

10h30 – 18h30 
Tirage photographique et permanence NFT 
— 
Le Studio du Magazine PHOTO vous accueille et vous propose un portrait 
réalisé par le photographe Didier Bizos pour tout abonnement souscrit.
Venez seul.e, en couple, avec des ami.e.s, de la famille…

Dimanche 30 octobre
Dans le cloître des Franciscaines

10h30 – 18h30 
Tirage photographique et permanence NFT 
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Le Studio du Magazine PHOTO vous accueille et vous propose un portrait 
réalisé par le photographe Didier Bizos pour tout abonnement souscrit.
Venez seul.e, en couple, avec des ami.e.s, de la famille…
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Venez découvrir sur l’espace Planète Initial les photographies réalisées dans la nuit par les participants  du Concours photographique de la 25ème heure Longines et tirées par Yonnel Leblanc

14h00 – 16h00
Signature de leurs livres par les photographes  
Arnaud Baumann
Celine Croze 
Nicolas Floc’h
Alain Keler

14h30 
Talk avec Arnaud Baumann

Lundi 31 octobre
Dans le cloître des Franciscaines

10h30 – 18h30 
Tirage photographique et permanence NFT 

14h00 – 16h00
Signature de leurs livres par les photographes  
Fabiola Ferrero
Richard Melloul 
Yan Morvan
Pierre de Vallombreuse
David Bacher

16h00 
Talk avec Yan Morvan

17h00 
Talk avec Fabiola Ferrero
et la Fondation Carmignac – Prix du Photojournalisme

Mardi 01 novembre

10h30 – 16h00 
Dans le cloître des Franciscaines
Tirage photographique et permanence NFT 

14h00
Talk avec Carolina Arantes 

Initial LABO soutient la fondation Photo4food

Vendredi 28, samedi 29, lundi 31 octobre
Venez vous faire photographier en studio par Olivier Goy!

Aux Franciscaines
10h30 – 18h30 

Vous partirez avec vos photos prises par Olivier Goy – Fondation Photo4Food,
 retouchées gratuitement par Initial Labo, en haute définition et imprimées par notre tireur Yonnel Leblanc. Vous aurez sur place l’occasion de faire un don au bénéfice de la Croix Rouge de la Côte Fleurie.

Dimanche 30 octobre – 16h00
Vente aux enchères exceptionnelle de photographies
Chapelle des Franciscaines

Vente des photographies par les artistes invité.e.s par la Fondation et de nombreux artistes du festival – Stanislas Augris, Diana Lui, Anne-Charlotte Moulard, Human Soul avec Michel Cam et Anne-Laure Maison, Sarah Moon, Georges Rousse, Max Pam… – 

Animée par Maître Alexandre Ferri, cette vente aux enchères sera également au profit de la Croix Rouge de la Côte Fleurie.

Les expositions Planches Contacts

Comme chaque année, des figures incontournables de la photographie sont présentées dans des expositions originales et dans des conditions exceptionnelles.

Les invité.e.s Planches Contact :

Raymond Depardon propose des images inattendues en couleurs du littoral français dans une installation monumentale sur la plage.

Bettina Rheims, invitée d’exception nous ouvre, au Point de Vue, les portes de La Chapelle L.A. 94/97, une installation immersive de ses photographies iconiques.

Le festival brise les codes avec Jessica Lange, invitée d’honneur plus connue comme actrice que comme photographe. Une exposition inédite lui sera consacrée au sein des Franciscaines, avec des instantanés de vingt ans de voyages, notamment le long de la mythique route 61.

The Anonymous Project, investit à nouveau Deauville avec des images issues de la collection de Lee Shulman mises en scène théâtrales à la Chatonnière et sur les planches

Photographes en résidence

Avec pour idée fondatrice de privilégier les résidences de création et les commandes publiques, Planches Contact s’est donné pour thématique l’exploration et la restitution de tout ce qui constitue les facteurs d’identité d’une ville et du territoire alentour. Année après année, les photographes portent ainsi leur regard sur la Normandie et exposent leur vision singulière durant le festival. Les expositions sont conçues à partir des productions inédites des photographes et en résonance avec l’environnement, les paysages et les espaces du territoire normand.
Avec Jean-Christophe Bechet, Carolle Benitah, Jean-Christian Bourcart, Stefano De Luigi, Omar Victor Diop, George Rousse, Francesco Jodice.

Résidences Photo4food

La fondation photo4food, créée par Virginie et Olivier Goy, a pour mission de financer des repas pour les plus démunis grâce à la vente de photos d’art et à des dons du public. La fondation promeut le travail de jeunes photographes auprès d’une large communauté de passionnés et d’acheteurs, notamment en organisant des expositions. En retour, les artistes cèdent quelques-unes de leurs œuvres, vendues au profit d’une association soutenue par la fondation. Initié en 2020, le partenariat entre Planches Contact et la fondation photo4food se poursuit, et la fondation contribue aujourd’hui à part entière à la programmation du festival. 
Avec : Stanislas Augris, Diana Lui, Anne-Charlotte Moulard, Anne-Laure Maison & Michel Cam.

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Résidences jeunes talents

Le Festival s’attache à donner une place importante à la création émergente et aux nouvelles générations. Réuni autour de sa présidente, la photographe et réalisatrice, Sarah Moon, le jury Planches Contact a sélectionné six jeunes photographes invités en résidence de création en Normandie. Chacun a reçu une bourse de création et été accompagné par l’équipe du festival tout au long des différentes étapes de conception et production. Le jury décernera à l’un d’entre eux le Grand Prix du Jury lors du weekend inaugural. Les visiteurs, eux, sont invités à voter pendant toute la durée du festival pour attribuer le Prix du Public qui sera dévoilé en janvier.
Avec Ciro Battiloro, Dana Cojbuc, Emile Garçon & Lise Guillon, Henri Kisielewski, Bruno Labarbère.

Partenaire depuis de nombreuses années du Festival Visa pour l’image, le rendez-vous international du photojournalisme, Initial LABO a été ravie de participer à la production des expositions de cette 34 ème édition.

Un regard sur le monde d’aujourd’hui

Visa pour l’image est le grand rendez-vous mondial du photojournalisme au sein duquel les visiteur sont invités à découvrir l’actualité du monde, une réalité capturée par les photojournalistes lors de leurs reportages réalisés dans le monde entier.

Cette année, Parmi ces actualités, le festival laisse une place importante à un sujet qui ne pouvait être absent et qui constituera l’un des thèmes majeurs de cette 34 ème édition. Il s’agit du conflit qui a éclaté le 24 février dernier en Ukraine. Le festival à sélectionné et mis en lumière le travail de plusieurs reporters qui jettent un regard particulier sur ce conflit. En plus de celui-ci, de nombreux autres sujets y seront exposés.

Malheureusement, le monde continue en dehors de l’Ukraine (…) il se passe des choses partout sur la planète dont, à cause de l’Ukraine, on ne parle plus. Et nous nous attachons à montrer l’actualité du monde dans son entièreté”

Jean-François Leroy

Du réchauffement climatique à la guerre, au Festival Visa pour l’image, toute l’actualité y est exposée nous faisant ainsi prendre conscience du monde dans lequel nous vivons aujourd’hui.

Initial LABO, partenaire du Festival

Partenaire depuis de longues années, Initial LABO a été ravi de produire les expositions de ANA MARIA ARÉVALO GOSEN, LUCAS BARIOULET, MAÉVA BARDY, VALERIO BISPURI, SIEGFRIED MODOL ainsi que SELENE MAGNOLIA

ANA MARIA ARÉVALO GOSEN
Lauréate du Prix Camille Lepage 2021
Días Eternos : Venezuela, Salvador, Guatemala (2017-2022)

«Rappelons que lorsqu’une femme est emprisonnée, ce n’est pas un individu qui souffre mais tout un réseau social. Au XXIe siècle, la chasse aux sorcières continue: les femmes exclues restent piégées.» Lisset Coba, 2015

La situation angoissante des femmes dans les prisons d’Amérique latine est peu évoquée, cela a pourtant des répercussions sur toute la région. Le système carcéral est en crise dans presque toute l’Amérique latine, et l’emprisonnement d’une femme peut affecter toute une génération…découvrez la suite

LUCAS BARIOULET pour Le Monde
Lauréat du Visa d’or de la Ville de Perpignan Rémi Ochlik 2022
Ukraine : la guerre au quotidien

5h30, Moscou, le 24 février 2022. Vladimir Poutine, assis derrière son bureau, annonce le lancement d’une opération militaire spéciale en Ukraine. Dans la foulée, les premiers missiles s’abattent sur le sol ukrainien, alors que le président Volodymyr Zelensky appelle le pays à prendre les armes. En quelques instants, la vie de millions d’Ukrainiens et Ukrainiennes bascule à jamais…découvrez la suite

MAÉVA BARDY / Fondation Tara Océan
Avec la participation du Figaro Magazine – Le douzième voyage de la goélette Tara

En octobre 2022 s’achèvera la douzième expédition de la Fondation Tara Océan. Lancée fin 2020, la mission Microbiomes s’était fixé comme vaste ambition d’étudier le peuple invisible de l’océan; ces organismes microscopiques, encore mal connus des scientifiques, qui constituent pourtant la pierre angulaire de l’écosystème marin...découvrez la suite

VALERIO BISPURI – Dans les chambres de l’esprit

Mon travail raconte ce qu’est la maladie mentale aujourd’hui. Dans les chambres de l’esprit est le quatrième chapitre sur la liberté perdue, après Encerrados, Paco et Prigionieri, poursuivant ainsi ma longue recherche et mon étude approfondie sur le monde des personnes invisibles…découvrez la suite

SIEGFRIED MODOLA – Au cœur de la rébellion birmane

En Birmanie, les espoirs de paix et de démocratie se sont évanouis. La nation d’Asie du Sud-Est est aujourd’hui embourbée dans le conflit et le chaos. Plusieurs décennies de régime militaire répressif et de mauvaise gouvernance ont créé un climat de violence, de violations des droits de l’homme et de misère chronique…découvrez la suite

SELENE MAGNOLIA – ZOR : Dans le plus grand ghetto rom d’Europe

Dans l’Europe actuelle confrontée à des flux migratoires sans précédent, la montée des mouvements nationalistes non seulement le long des frontières mais également à l’intérieur des pays a contraint des minorités à vivre dans des ghettos, comme s’il fallait les cacher, éviter qu’elles contaminent leur environnement…découvrez la suite



Tous les mois,

retrouvez les prochaines expositions, rencontres ,
sorties de livres des photographes
avec qui nous travaillons au quotidien,

les rendez-vous photographiques
incontournables
auxquels nous participons,

et les vernissages de nos expositions.

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